En ce week-end de Pâques, comme chaque année, nous nous rendons à Paris chez les parents de ma femme, qui habitent en banlieue une jolie maison en pierre.
Je m’appelle Pascal et ma femme s’appelle Sylvie, j’ai 30 ans et ma femme 27 ans. Nous sommes mariés depuis 4 ans et nous avons deux enfants.
Caroline, ma belle-mère a quarante-neuf ans et on peut vraiment dire qu’elle a encore de beaux restes. Grande mince, rousse, avec une superbe poitrine que je devine sous le pull moulant qu’elle porte volontiers, les yeux bleus, une bouche pulpeuse… je trouve vraiment que mon beau-père a de la chance de s’envoyer ce morceau de choix.
Cet après-midi, après les retrouvailles habituelles, et le déjeuner traditionnel, mon beau-père qui est heureux de retrouver sa fille, lui propose d’aller faire un tour le long du canal avec les enfants, comme il le faisait avec elle quand elle était petite.
Ma femme accepte volontiers : - Pendant ce temps là, maman, tu pourrais faire l’ourlet du pantalon de Pascal. Nous l’avons acheté hier mais comme nous partions nous ne l’avons pas laissé au magasin.
- Avec plaisir ma chérie, tu sais comme j’aime la couture.
Dès que le reste de la petite famille est partie, nous restons seuls, Caroline ma belle-mère et moi dans le salon à finir de boire le café, moi dans le canapé et elle en face de moi sur dans un fauteuil.
Elle est aujourd’hui particulièrement en beauté, pull très décolleté en V, petite jupe noire assez courte sur des bas résilles noirs et des chaussures à talons aiguilles.
Dans cette douce torpeur d’après repas, je commence à la trouver très sexy la belle-maman, qui me raconte leur dernier voyage au viet-nam en croisant et décroisant les jambes ce qui me permet de repérer que ce sont bien des bas qu’elle a, puisqu’elle m’offre de temps en temps la vision très érotique du triangle blanc de sa petite culotte…
- Pascal, si vous alliez enfiler votre pantalon neuf, que je voie ce que je peux faire pour vous, me dit-elle, me tirant du rêve érotique où je suis en train de m’enfoncer en lorgnant ses magnifiques jambes.
- Avec plaisir, vous verrez il est très beau, léger, un régal à porter pour cet été.
Je passe dans notre chambre où j’espère faire disparaître mon début d’érection, il ne faudrait pas effaroucher caroline chérie…
J’arrive dans le salon, où Caroline a sorti sa boîte à ouvrage :
- Venez, devant moi Pascal, je ne vous fais pas peur tout de même ? - Mais non belle-maman ! - Pascal, je vous ai dit cent fois de ne pas m’appeler belle-maman, on croirait que j’ai 80 ans, appelez moi Caroline… - Comme vous voulez Caroline !
- Attendez, que je regarde la ceinture … c’est bon, passons à l’ourlet …
Elle se met à genoux devant moi, son petit cul est tendu sous la jupe qui a doucement remonté sur ses cuisses et son décolleté est juste sous mes yeux, le pull baille et je peux voir ses deux magnifiques nichons dans l’écrin de dentelle du balconnet.. super !
- Ne bougez pas je mets les épingles, vous pourriez vous piquer ! Bon ce n’est pas mal mais il tombe mal à gauche, ne trouvez-vous pas.
- Vous croyez Caroline … Je suis un peu gêné car si le pantalon tombe mal, c’est que mon érection m’a repris et que cela tend le pantalon, forcément !
- Je vais voir avec un peu de recul, dit-elle en s’asseyant en face de moi sur le canapé, les jambes légèrement écartées sous sa jupe relevée, feignant de ne rien remarquer, ni de sa position, ni de mon trouble grandissant.
- C’est la ceinture qui tombe mal, décrète-elle au bout d’un long moment à me considérer l’entrejambes, je vais y remédier.
Elle se prosterne à nouveau devant moi, mais là pour évaluer le travail à faire elle me met la main sur la braguette et me soupèse carrément le paquet.
- Vous portez de quel côté, Pascal ? me demande-t-elle soudain en rougissant quelque peu. - A gauche, je pense ! - Il faut en être sûrs, pour ne pas faire de bêtise, enlevez le pantalon, nous allons vérifier.
Moi aussi très gêné mais quand même un peu excité par cette belle-mère très entreprenante, je quitte mon pantalon et me retrouve en slip devant elle. La bite a hauteur de bouche si j’ose dire.
- C’est vrai qu’il y en a un beau paquet à caser, c’est pour ça que le pantalon tombe mal. Vous permettez … Dit-elle en me mettant la main carrément sous les couilles pour soupeser.
Le slip est tendu et ma queue est en train de passer par dessus l’élastique et tout à coup je disjoncte
- Tu voulais la voir ma queue, salope eh bien la voilà, elle te plaît !
- Pascal, que vous arrive-t-il vous devenez fou !
- Ta gueule salope, tu voulais de la queue tu vas en avoir, déshabille toi tout de suite …
- Non, vous êtes fou je vais le dire à Sylvie ..
- Déshabille toi et je lui donne une paire de claques sonore mais peu douloureuse.
Aussitôt elle s’exécute, elle enlève son pull moulant dénudant une poitrine de rêve, puis fait glisser sa jupe et se retrouve en soutien-gorge et string noirs en bas résilles sur des talons aiguilles. Sa chevelure rousse flamboie, c’est une salope dans toute sa splendeur.
- Et maintenant dit-elle ?
- A genoux, tu vas me montrer comment tu pompes ! Suce-moi !!! Voyant qu’il n’y a rien à faire, ou attirée par cette situation inhabituelle elle se met à genoux devant moi et attrape ma queue qu’elle se colle aussitôt dans la bouche et commence à me sucer. De l’autre main elle me caresses les couillles. De temps en temps elle sort toute la queue de la bouche pour passer sa langue sur le frein et jouer avec le gland. De ses grands yeux elle me regarde puis se recule en me disant :
- C’est bon mon salaud, j’en avais envie depuis longtemps de ta grosse queue.
- Oui c’est bon, continue tu vas me sucer à fond, je veux que tu avales tout mon foutre comme une pute que tu es, tu entends sale chienne !
- Oui, insulte moi, j’adore ça, je suis ta chienne ….
Au bout de quelques minutes de fellation savante, démontrant que Caroline n’en est pas à sa première pipe, (il faudra que je lui demande de m’expliquer en détails où elle a appris et quand elle a commencé) :
- Je viens ouvre la bouche salope ! Et je retire ma queue en la tenant de ma main droite, pendant que de la gauche je lui attrape les cheveux et lui tire la tête en arrière. Un flot de sperme spasmodique sort de ma queue et lui arrive sur le visage, dans la bouche sur les cheveux, elle en est presque étouffée, mais avale tout et se passe la main sur le visage pour récupérer le reste et se le remettre dans la bouche pour le savourer.
Quelques instants après, ayant repris notre souffle, nous gisons par terre, moi nu et elle en sous-vêtements affriolants, les cuisses écartées, prête à recevoir d’autres offrandes.
- Il faut faire attention, ils vont revenir, dis-je à Caroline, il faut se rhabiller.
- On a encore trois-quarts d’heure, j’ai vraiment envie que tu me baises maintenant, tu m’as échauffée, j’ai la chatte en feu !
- Assieds-toi sur le fauteuil et branle-toi, lui dis-je excite moi pour que je redurcisse, parce que tu m’as vraiment pompé les couilles.
- Elle s’assied sans se faire prier et met une jambe sur chaque accoudoir du fauteuil. Sa chatte presque glabre est luisante de mouille et ses grandes-lèvres dépassent de chaque côté du string. Elle se met les doigts dans la bouche pour les mouiller et aussitôt se met à se les enfoncer dans la chatte avec délectation.
- Regarde mon chéri, comme ta vieille belle-mère est une grosse salope. Vas-y durcis, que tu puisses me l’enfoncer dans la chatte et dans le cul. Vite viens me tringler.
De mon côté, j’ai sorti ma bite et commence à me l’astiquer consciencieusement, pour atteindre les 15cm qu’elle fait quand je suis en forme. Puis je viens me mettre devant elle, et je lui dis :
- Tourne toi vieille salope je vais te bourrer ton cul de vieille pute, tu aimes te faire ramoner par un jeune…
- Oui, vas-y parle moi comme à une pute, j’aime ça, j’aime me faire mettre par un jeune, et maintenant j’en ai un qui va me bourrer quand il voudra.
Je me penche et lui lèche l’anus pour le lubrifier, puis j’avance le bout de mon gland le long de sa raie et d’une seule poussée je pénètre en elle…
- Ouiiiiiiiiiiiiiii !!!! Dit-elle dans un long feulement sensuel, vas-y bouge, bourre-moi, astique-moi, remplis-moi… je veux ta queue Pascal….. mon chéri
- Je suis excité comme jamais, j’ai la queue qui semble énorme dans son petit cul étroit et je lime comme un perdu.
- Vas-y j’adore qu’on me prenne par tous les trous me dit-elle en plein délire sexuel.
Moi, qui garde un brin de lucidité et qui vois bien qu’elle n’est pas à son coup d’essai, lui demande :
- Raconte moi comment tu te fais mettre par de grosses queues quand je ne suis pas là, Caroline….
Elle se tourne vers moi, le visage luisant de sueur, rendue complètement folle par la queue qui lui travaille le cul depuis quelques minutes.
- C’est ton beau-père, qui me loue sur des chantiers d’autoroutes ou des parkings de routiers la nuit…
Je n’en peux plus, tellement je suis excité, je gueule un grand coupe n lui envoyant tout mon sperme au fond des entrailles. Aussitôt elle se désengage se retourne et commence à sucer ma queue pleine de foutre et de déjections plus ou moins propres, comme si c’était la chose la meilleure du monde et me la rend propre comme un sou neuf.
Au bout de quelques instants, elle me dit :
- Rhabillons-nous, je vais te faire une tasse de thé et te raconter mes aventures nocturnes et celles de ton beau-père, tu vas voir que les vieux ne sont pas ce qu’on croit ….
- D’accord, mais je t’interdis de mettre une culotte quand je sui là, je veux pouvoir te baiser quand, comme et où je veux et user de ta chatte de ton cul et ta bouche, pour mon plaisir et celui de ceux qui seront avec moi. Acceptes-tu ?
- Oui, mon amour, tout ce que tu veux, je serai ta chienne lubrique et obéissante.