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Deux jours ne s'étaient pas écoulés que Philippe prévint sa fidèle assistante :
- J'envisage quelque chose de nouveau pour toi dès demain. Ca te prendra trois jours, arrange-toi pour être libre. Demain, après le bureau tu fileras au comptoir d'Air France, porte Maillot, et tu demanderas une enveloppe de ma part au réceptionniste. Inutile de prendre des bagages.
Il n'avait rien dit de plus, et le ton n'admettait aucune question, et encore moins aucune réticence. De toutes manières, Sarah savait qu'elle demeurait libre. En théorie toutefois, car ses pulsions de soumission l'emportaient sur toute autre considération.

Le lendemain vers 17h, elle se dirigeait vers le comptoir de la compagnie aérienne. Bien qu'elle n'ait emporté aucun bagage, elle s'était toutefois vêtue d'un ensemble de coton léger, plus pratique pour voyager et d'un simple imper couleur mastic, car c'était le début de l'été et il faisait assez chaud.

Le jeune homme qui s'affairait derrière son comptoir, ne fut pas étonné de sa demande : la grosse enveloppe de papier kraft était prête. Toutefois, Sarah ne voulut pas l'ouvrir tout de suite et s'attabla pour ce faire à la terrasse du Méridien, tout aussi anxieuse qu'excitée. Quand elle put enfin la décacheter, elle en découvrit le contenu : plusieurs enveloppes numérotées, à ouvrir dans l'ordre, et une petite clé :
" Tu vas aller à la consigne d'Air France et retirer le sac que tu y trouveras. Il contient quelques affaires qui seront sûrement plus appropriées. Puis remettra tes affaires à l'intérieur et tu replaceras le tout dans le coffre. "
Elle n'hésita pas, tenaillée de curiosité, laissa quelques pièces de monnaie sur la table et se dirigea vers les toilettes.
A l'intérieur du grand sac, elle découvrit sa nouvelle parure, mais ne réalisa vraiment en quoi elle consistait que lorsqu'elle se découvrit dans la glace des toilettes.
Une jupe plissée rouge, très courte, évasée, lui arrivait à peine en haut de cuisses. Quand elle se regarda de dos, elle découvrit avec effroi, que le moindre mouvement, notamment lorsqu'elle se penchait découvrait ses fesses, qu'elle avait naturellement rebondies. Car un petit mot dans le sac spécifiait bien qu'elle ne devait pas porter de sous-vêtements. En haut, elle portait un simple chemisier de soie noire, largement décolleté, transparent au point que la couleur foncée de ses aréoles de seins transparaissait. Des chaussures noires à hauts talons et c'était tout. En se regardant dans la glace, Sarah se sentit plus nue qu'elle ne l'avait jamais été.
Elle enfila son imper, en serrant la ceinture de manière à éviter que l'échancrure du col ne découvre sa poitrine à peine voilée et alla replacer le sac dans la consigne.
La deuxième enveloppe était lapidaire :
" Ta vas aller reporter la clé au réceptionniste. Au cas où tu aurais gardé ton manteau, ce dont je me doute, tu lui demanderas de te le garder ".
L'angoisse l'étreignit alors, et c'est en tremblant qu'elle repartit vers l'agence commerciale.
Il y avait maintenant une queue au comptoir, c'était l'heure ou les hommes d'affaires viennent faire modifier leur billet. Elle prit sa place dans la file, appréhendant le moment ou elle devrait se défaire de son imper. L'attente était longue, l'employé était seul de service. Coincée dans sa file entre deux hommes d'affaire, elle sentait la pointe de ses seins durcir, anticipant le moment où elle devrait retirer son imperméable et découvrir publiquement sa poitrine et ses cuisses. L'homme qui était devant elle avait un problème compliqué à régler. Voilà plusieurs minutes qu'il se démenait avec le réceptionniste et, derrière elle, la file s'allongeait. Deux jeunes étudiants plaisantaient, une mère de famille tentait vainement de calmer l'agitation de ses deux bambins, l'homme qui était derrière elle s'impatientait.
Ce fut son tour.
L'employé la reconnut :
- Vous me ramenez la clé ? Donnez-la moi. Très bien !
Elle hésita :
- Pourriez-vous également me garder mon imper ?
Elle espérait follement que le réceptionniste lui opposerait qu'il ne pouvait pas, ou qu'il n'avait pas le droit, ou bien prétexterait qu'il allait terminer son service.
- Bien sur ! Il fait chaud. Donnez-le-moi !
Les gens dans la file suivaient la conversation. Elle tressaillit. Elle défit la ceinture de l'imperméable, découvrit à ses suivants son dos nu à peine ombré par le chemisier en soie noire, tendit l'imper par-dessus le comptoir. Elle réalisa, à la sensation de fraîcheur, que, en se penchant, elle découvrait le bas de ses fesses pleines et charnues aux passagers qui la suivaient. Elle coupa court.
- Merci. Au revoir !
Elle se retourna pour partir le plus vite possible. Mais là, elle s'aperçut que les yeux des gens de la file étaient tournés vers elle. A peine leur fit-elle face, que les regards descendirent pour converger vers ses seins, petits, tendus, transparaissant à travers le chemisier. Une nouvelle fois, elle sentit ce petit picotement d'excitation au bout de ses mamelons, en même temps que son visage prenait une couleur pivoine.
Essayant de ne pas courir, de ne pas laisser paraître sa confusion, elle longea la file, d'un pas qu'elle voulut le plus calme possible, petits seins pointant et tressaillant à chaque pas, son sac à main sur l'épaule. Quand elle passa la porte vitrée, qui était actionnée par un système électronique, le vent s'engouffra sous sa jupe, la soulevant jusque sous les bras, découvrant, en une sorte de final majestueux ses fesses aux passagers médusés, et son ventre glabre aux passant qui lui faisaient face. Elle ne fut pas capable de se contrôler plus longtemps. Elle se mit à courir, serrant son sac contre elle, essayant d'oublier sa jupette qui volait exposant ses charmes les plus intimes. Ce ne fut que passé le coin de la rue qu'elle calma son rythme, marchant à petits pas, tentant de maintenir sa jupe serrée contre ses cuisses.
Elle aperçut un square quasi désert à cette heure, et se réfugia sur un banc, serrant les jambes, son sac devant elle afin de dissimuler un peu de sa poitrine. Elle entreprit alors d'ouvrir la troisième et dernière enveloppe.
" Je veux que mon assistante modèle montre ses capacités à devenir une petite pute. Que des mains inconnues souillent ton corps, que des membres anonymes pénètrent ton sexe. Je veux que tes seins appartiennent à qui paye, que tu t'exhibes et livres ta poitrine, ton ventre, tes reins, pour quelques billets.
Tu devras rapporter dix mille francs demain matin. Peu importe ce que tu devras faire pour cela mais tu ne devras utiliser que les ressources de ton corps.
Une chambre t'est réservée au 10 de la rue Dunoyer, tout près d'ici. Le réceptionniste te donnera la clé à chaque passe. Tu es libre de l'utiliser ou non.
Si tu ne veux pas, il suffit que tu retourne chercher la clé de la consigne et que tu rentres chez toi ; nous ne parlerons plus de rien. Jamais.
J'ai hâte de te voir à l'œuvre. "

Son cœur battait à tout rompre. Il voulait la prostituer ! Il voulait la ravaler au dernier degré de la déchéance ! Comment pouvait-il imaginer qu'elle accepterait ? Comment pouvait-il être aussi sur qu'elle lui appartenait à ce point, qu'elle l'aimait à ce point ?

Son premier réflexe était mêlé de terreur. Elle s'était imaginer que l'habillage qu'il lui avait fait revêtir était destiné à une séance d'exhibition, comme lors du défilé de mode au sex-shop. Même si elle avait conscience d'être habillée en putain, elle n'avait pas pensé un seul instant qu'il voulait la faire passer aux actes.
Curieusement, malgré toute l'angoisse que suscitait chez elle pareille exigence de son maître, elle n'avait pas pensé un seul instant à refuser. C'était pourtant si simple ! Il lui suffisait d'aller voir une nouvelle fois le réceptionniste, de retrouver ses vêtements et de rentrer chez elle avec une respectabilité retrouvée.
Non. Elle ferait ce que son maître lui demandait. Elle ne savait comment, mais elle obéirait.

La nuit tombait, derrière la place de la Porte Maillot, le Bois de Boulogne étendait son ombre noire. Elle se leva, et, courageusement se dirigea vers son leu de déchéance.

Traverser la Porte Maillot dans sa tenue ne constitua pas un exercice discret.
Elle dut attendre aux passages pour piétons que les feux passent au vert, en compagnie d'hommes et de femmes qui lorgnaient sur ses cuisses et sa poitrine mi-dévoilée. Elle regardait droit devant elle, serrant les jambes, affectant un désintérêt quant à ce qui se passait autour d'elle. Mais elle ne pouvait pas ne pas sentir, les regards excités pointés sur sa chair, ni les commentaires à mi-voix des ménagères rentrant chez elle jaugeant cette femme à demi-nue, exhibant ses charmes en pleine rue.

Le feu passant au vert, il fallait défiler devant les automobilistes éberlués contemplant cette femme donc chaque pas faisait ballotter un sein et découvrait les fesses généreuses. Les coups de klaxon qui retentirent, finirent d'attirer sur elle l'attention ce ceux qui ne l'auraient pas remarquée. C'est rouge de honte qu'elle parvint finalement à l'orée du bois.

Elle n'était pas seule. D'autres filles s'égrenaient le long du trottoir, aguichant les automobilistes circulant à très basse vitesse ou arrêtés au feu. Les réverbères éclairaient la scène d'une lueur glauque, les phares des automobiles révélaient successivement des jambes fuselées, des poitrines trop provocantes.

S'enfonçant un peu dans le bois, elle passa devant ses " collègues ", esquissant un sourire timide, allant se placer plus loin afin de ne pas leur faire concurrence. Elle savait combien ces filles défendaient leur territoire et pouvaient se montrer agressives.

Elle se tint alors bien droite, sur le bord du trottoir, attendant, mais aussi redoutant, la première voiture qui s'arrêterait, le premier " client ".

Aussitôt les voitures ralentirent à sa hauteur, passant le plus lentement possible, les yeux des conducteurs rivés sur son corps, essayant de pénétrer derrière le tissu pourtant bien mince.

Plusieurs fois, une voiture s'arrêta. Elle s'avança alors, essayant d'arborer un sourire aguicheur, mais à chaque fois la voiture redémarra à son approche.
Ses voisines semblaient avoir beaucoup plus de succès qu'elle et au bout de trois quarts d'heures, aucun client ne s'était réellement manifesté, seuls les voyeurs passaient et repassaient devant elle.
Elle dut se résoudre à l'évidence. Non seulement ses collègues étaient beaucoup plus charnues qu'elle ( elles avançaient des poitrines nettement plus significatives que ses petits seins) mais aussi elles se dénudaient beaucoup plus généreusement, attirant irrésistiblement les hommes.
Sa voisine, en particulier, ne portait qu'une large ceinture de tissu laissant complètement nu le torse et ses énormes mamelles, mais aussi dégageait un sexe au poil dru, soigneusement taillé court de manière à laisser apparaître ses lèvres longues et charnues. Les autres filles portaient soit un haut, soit un bas, mais toutes exhibaient sans retenue seins ou vulve.
Si elle voulait remplir sa mission elle devait en passer par là. A regret, progressivement, elle écarta les pans de son chemisier pour laisser apparaître un mamelon, puis la pointe d'un sein, puis l'autre. Finalement, elle repoussa les deux pans du vêtement, les coinça dans la ceinture de sa jupe et dégagea complètement ses deux seins qui se mirent alors à durcir et à pointer dans la nuit humide. Alors, elle s'avança dans la lumière. La lueur du réverbère sur lequel elle s'appuya éclaira son buste comme l'aurait fait la rampe d'un théâtre. Le spectacle de ses seins attira immédiatement les automobilistes à la recherche d'une vision excitante, d'un corps à prendre.
Une voiture ralentit, passa lentement, puis fit demi-tour et revint. Arrivée à sa hauteur, elle s'arrêta doucement. Le conducteur, un homme d'âge mur ouvrit la fenêtre latérale et se pencha. Sarah s'approcha alors, corsage ouvert, seins ballottant. Elle était terrorisée mais se forçait à arborer un sourire aguicheur. Tout se passait au ralenti dans sa tête, comme dans un film dont elle aurait été l'actrice principale. Jamais elle n'avait été dans une telle situation. Elle avança et se pencha vers l'homme. Ce faisant ses seins se trouvèrent exactement à la hauteur de la fenêtre, pendant, offerts.
- Tu as quelque chose sous ta jupe ?
Sans répondre, sans se départir de son sourire, sans cesser de regarder l'homme, elle fit glisser sa main le long de sa jupe, et en releva le devant, dégageant son sexe, exposant une vulve charnue, épilée, des lèvres longues et bien dessinées, surmontées d'une touffe de poils bruns crépus.
L'homme siffla.
- Superbe ! C'est combien ?
Sarah était prise au dépourvu. Tétanisée par l'idée de s'offrir au premier passant qui voudrait d'elle, elle n'avait même pas réfléchi au " tarif " !
- Mille francs !
Tu rigoles ? Pouffiasse ! Mais qu'est-ce que tu crois ? Tu crois que je vais mettre mille balles pour une viocque ? Tu t'es vue ?
Il démarra en trombe, la plantant là, nue, au milieu de la rue, dans la lueur des phares des autres voitures.
Elle regagna sa place. Comment ferait-elle pour gagner dix mille francs pour demain matin ?
Une autre voiture s'arrêtait. A l'intérieur un gros homme, presque chauve, à l'allure plutôt sympathique.
Elle s'approcha de nouveau.
- Combien ?
- Cinq cent francs.
- On va où ?
- J'ai une chambre tout près d'ici…
Il ne réfléchit qu'un court instant.
- C'est d'accord, monte !
Elle était au pied du mur. Elle fut sur le point de s'affoler, de tout laisser tomber, de courir reprendre sa vie de petite bourgeoise. Il était encore temps…

L'homme conduisait doucement, il la regardait, se demandant s'il faisait une bonne affaire, comment elle serait au lit. L'angoisse étreignait Sarah. Il lui demanda son nom. Elle n'eut pas la présence d'esprit de donner un autre prénom que le sien.
Elle le conduisit jusqu'à l'hôtel. Il la suivit quand elle pénétra dans le hall. Le réceptionniste, un homme à l'aspect peu avenant et mal rasé, considéra cette femme à demi-nue qui s'avançait vers lui, ses longues jambes émergeant de la minijupe plissée ; il n'eut aucun doute sur ce qu'elle venait faire.
- Je suis Sarah. On a du vous dire…
- Je suis au courant ! Prends ta clé : 107 ! Ne fais pas de bruit, il y en a qui dorment !
Ils montèrent l'escalier. Sarah sentait dans son dos le regard de l'homme lorgnant ses fesses, ressentant comme une sorte de brûlure sur sa chair. Il pensait qu'il allait se régaler de cette femme qui s'offrait comme une pute et qui pourtant n'avait pas la vulgarité de ses congénères.
La porte de la chambre fermait mal. Sarah se dit que n'importe qui pourrait les surprendre.
Quand elle se retourna, elle vit que l'homme avait posé les billets sur la table de nuit et se déshabillait. Son ventre énorme pendait sur un sexe rabougri et de taille ridicule.
Même si Sarah n'avait jamais connu que la verge de son mari, elle était surprise de la petitesse de ce sexe enfoui dans la graisse.
- Qu'est ce que tu attends, Déshabille-toi !
L'homme était méfiant, craignant l'embrouille.
Elle s'exécuta. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour ôter le peu de vêtements qu'elle portait. Elle fut rapidement nue devant lui. Bien droite. Il considérait avec une satisfaction gourmande et malsaine ses petits seins pointus et son ventre plat.
- Que désirez-vous ?
- Comment ce que je veux ? Tu me suces bien d'abord et ensuite je te prends ! Et prends ton temps, j'en veux pour mon argent !
Soumise, elle s'agenouilla devant l'homme, mit ses mains sous les testicules poilues, et amena vers sa bouche la masse informe. Le petit sexe rabougri émergeait à peine. Elle le prit entre deux doigts, et l'introduisit entre ses lèvres. Il semblait grossir un peu…
Avec le bout de sa langue, elle essaya de stimuler le gland encore sous la peau du prépuce.
Soudain elle réalisa : elle ne lui avait pas mis de préservatif ! Elle suçait ce sexe inconnu sans préservatif. Elle se demanda comment elle allait lui expliquer. Mais ce n'était pas possible ! Elle n'eut pas le temps. La grosse main de l'homme pesa sur son crâne afin de mieux faire pénétrer le sexe dans sa bouche.
- Qu'est-ce que tu fiches ? Suce !
Bravement, comme une gentille petite soumise, elle se mit à sucer du mieux qu'elle pouvait. Jamais elle n'avait accepté de ses livrer à cette activité répugnante. Même quand son mari lui avait demandé. Peut-être était-ce pour des choses de ce genre qu'il était parti…
Le sexe de l'homme grossissait rapidement même s'il ne durcissait pas vraiment.
- Ca vient ! Couche-toi vite !
L'homme était sur le point d'éjaculer.
Il la repoussa vivement. Elle n'eut que le temps de s'allonger sur le lit, il était sur elle et la pénétrait difficilement de son sexe mou. Ahanant, soufflant bruyamment, il s'activait. Ses mains grasses pétrissaient brutalement les seins fragiles de la fille, pinçant les tétons. Il l'écrasait. Elle ne pouvait rien faire que subir.
Heureusement l 'épreuve fut de courte durée. Il éjacula bientôt, inondant son sexe d'un liquide épais et odorant. Il s'écarta bientôt d'elle, cherchant à reprendre son souffle. Il la regarda, à la fois repu et honteux. Sarah était restée allongée, les cuisses écartées, le sexe gluant de sperme.
Il s'habilla rapidement, sans un mot.
Sarah glissa doucement :
- C'était bien, vous avez eu du plaisir ?
- Tu aurais pu prendre ton temps, tu m'as fait éjaculer tout de suite. Vous êtes toutes les mêmes.
Il était déjà habillé. Il lui glissa un au revoir rapide, n'attendit pas la réponse et s'enfuit, plutôt qu'il ne quitta la chambre.
Sarah se leva doucement. Ses seins écrasés et malmenés lui faisaient mal. Ils étaient restés fragiles depuis que Fabienne les avait cravachés.
Elle alla se laver, rangea les billets dans son sac, se rhabilla et emprunta l'escalier.
Le réceptionniste la regardait descendre lorgnant sur ses jambes, un sourire ironique et graveleux sur les lèvres.
- Vous auriez des préservatifs, s'il vous plait ?
Il jeta une boite sur le comptoir.
- Il serait temps d'y penser, Cinquante francs. La clé !
Quand elle quitta l'hôtel pour reprendre son poste de travail, elle se sentait souillée, avilie. Comment avait-elle pu tomber si bas…
Elle repartit au travail, bravement. Quand elle parvint à son poste, il y avait encore plus de filles et plus de voitures. Sa place étant prise, elle se mit un peu plus loin, cette fois directement dans la lumière. Elle s'appuya sur un arbre, ouvrit son chemisier, exposa ses seins.. .
Une voiture s'arrêta aussitôt. A l'intérieur, un noir d'une quarantaine d'années. C'est lorsqu'elle fut dans la voiture qu'elle se rendit compte à quel point il était grand et musclé. En même temps qu'il conduisait, sa grosse main alla s'enfouir sous la minijupe de Sarah. Il émit un grognement de satisfaction quand il constata qu'elle n'avait pas de culotte et que son sexe était exempt de tout poil, prêt à la pénétration. Sarah, qui n'osait pas repousser cette main inquisitrice s'enfonça un peu plus dans son siège. Malgré tout, elle sentit bientôt un doigt fort qui pénétrait sa chatte sans ménagement : il était pressé de la prendre. Il la fouilla profondément, et durement.
De même, lorsqu'elle le précéda dans l'escalier qui menait à sa chambre, il ne put s'empêcher de soulever complètement sa minijupe, dégageant ses fesses rebondies, et les prenant chacune dans ses mains. Le réceptionniste, qui suivait la scène, émit un petit rire qui accrut encore la confusion de la fille.
A peine dans la chambre, l'homme la déshabilla lui-même.
Une fois complètement nue, elle se mit à genoux devant lui pendant qu'il se déshabillait à son tour. Quand il retira son caleçon, les yeux de Sarah s'exorbitèrent. Sa queue noire était énorme, la peau parcourue de veines tendue à se rompre. Le gland rose, émergeait de lui-même, attendant que la belle assistante le suce. Celle-ci entreprit alors de l'enfouir entre ses lèvres. Sa bouche peinait à absorber la queue de l'homme. Elle dut l'ouvrir au maximum pour l'enfourner. De suite, le formidable membre alla heurter le fond de sa gorge. L'homme y prenait un plaisir évident et le mouvement de va et vient s'accéléra, défonçant la bouche de la fille. Il tenait sa tête à deux mains contre son sexe, indifférent aux hocquètement de Sarah. Aussi rapide que soudain, un flot de sperme jaillit, inondant la bouche de la fille, pénétrant sa gorge. Elle sentit aussitôt le liquide visqueux de cet étranger courir vers l'intérieur de son corps.
- Avale !
Elle entreprit de déglutir, absorbant les jets successifs de sperme. Elle le sentait s'écouler le long de son œsophage, courir vers son estomac…
Il se retira enfin d'elle, satisfait. Un bon sourire illuminait son visage, indifférent aux larmes de Sarah.
- Tu es une bonne petite suceuse blanche !
La fille finissait de déglutir, reprenant son souffle.
- Redresse-toi. Fais voir comme tu es belle ! Tu es nouvelle toi ? Je ne t'ai jamais vue !
- Oui, monsieur. Dit la fille. C'est la première fois.
- La première fois ! J'inaugure ?
Au fur et à mesure qu'il parlait, son membre redevenait dur. Sarah n'en croyait pas ses yeux : l'attribut monstrueux était de nouveau prêt. L'homme retourna alors la fille pour la prendre à nouveau, son calvaire n'était pas fini.
Il la cambra sur le lit. Du doigt, il repéra l'orifice qui l'intéressa. Sarah comprit de quelle manière il voulait la prendre. Elle s'affola non seulement à l'idée d'être sodomisée (jamais elle n'avait été prise de cette manière) mais aussi à la pensée de la taille énorme du membre de l'homme. Elle supplia :
- Je vous en prie ! Pas comme ça ! Je vous en prie !
- Qu'est-ce que tu as petite blanche ? Tu ne sais pas ce que tu veux ! Tu te trimbales à poil dans la rue, tu as accepté mon argent. Maintenant, il te faut subir. Ma queue te fait l'honneur de te pénétrer. Tu peux en être fière. Il y en a peu comme ça.
- S'il vous plaît ! Mettez au moins le préservatif…
- Donne !
Il tenta d'enfiler le mince voile. Mais la taille de son sexe le tendait au maximum. Il n'eut pas le temps de le poser jusqu'au bout, que déjà il se rompait.
- Tant pis !
L'énorme engin buta contre la frêle rosette de Sarah. Vierge de cet orifice, la fille hurla. L'homme s'acharna, excité au maximum par la beauté de la fille, son élégance naturelle mise en valeur par la position courbée et offerte qu'il lui imposait, par ses gémissements aussi.
D'une ruade, il la força. Pénétrant d'un seul coup, s'enfonçant jusqu'à la garde.
Sarah hurla de plus belle, vrillée par la douleur, se sentant abîmée, déchirée dans sa chair.
On tambourina à la porte. C'était le réceptionniste :
- Tu as bientôt fini de beugler comme ça. Continue et je te fous dehors !
Sarah sanglotait avant même que l'homme ne se retire.
Il avait l'air satisfait de lui, et d'elle aussi. La brute se montra soudain plus câline. Peut-être enfin conscient de la douleur infligée à cette fille, même si ce n'était qu'une petite pute. Il lui caressa la joue pour sécher ses larmes :
- Il faut que tu arrête de te prostituer. Tu n'es pas faite pur ça. Tu es trop délicate.
Il se rhabilla rapidement, attendit qu'elle-même se fut apprêtée et la raccompagna dans le bois. Dans la voiture, ils n'échangèrent pas un mot. Elle avait honte. Quand il s'arrêta devant l'emplacement où il l'avait cueillie, Sarah fut sur le point de se confier, de lui demander de l'emmener, de la sortir de cet enfer. Mais il ne lui en laissa pas l'occasion et elle se retrouva de nouveau seule, nue, exposée aux voitures qui convergeaient vers elle.
La nuit s'avançait et elle n'avait gagné en tout et pour tout que mille francs. Et au prix de quelles souffrances ! Elle décida alors de se faire besogner en voiture ou dans le bois, car les trajets lui faisaient perdre du temps, mais aussi parce qu'elle se sentirait moins isolée et moins vulnérable en restant dans les parages.
Elle demanda donc à son prochain client de la conduire à l'écart sur un parking, où, pour le même prix, elle s'offrit à lui. Ejaculateur précoce, il explosa dans sa bouche et ne put la pénétrer. Il maugréa, parla de récupérer son argent, mais finalement ne fit pas d'histoire, la raccompagna et partit.
Puis les hommes assoiffés de cette fille qui ne ressemblait pas vraiment aux autres se succédèrent. Sarah, telle une machine, avait perdu conscience de ce qu'elle faisait. Comme ses voisines, elle ne prit bientôt plus la peine de se rhabiller et c'est intégralement nue, vêtue de son seul sac, qu'elle arpenta bientôt l'avenue sombre, offrant son corps à la lueur des phares, laissant les passagers des voitures détailler ses seins et son sexe, lui lancer des plaisanteries ou des commentaires humiliants sur ses attributs, proposant ses services à des hommes avinés, montant enfin sans réticences dans la première voiture venue, suçant la première queue qui se présentait, offrant son ventre au fond d'une voiture. Par deux fois, elle partit avec plusieurs clients à la fois. Il la prirent et la sodomisèrent à tour de rôle. Elle ne dit rien, se prêtant à leurs caprices, subissant tous les outrages, du moment qu'ils payaient. Vers trois heures du matin, elle avait presque réuni la somme que son maître lui avait assignée.
Un homme s'était approché d'elle. Elle s'avança vers lui, arborant un sourire qu'elle voulait aguicheur mais qui n'était que vulgaire :
- Je t'emmène ? Je te suce bien. Regarde !
Prenant la main de l'homme, elle la guida vers son sexe pour lui faire sentir des doigts la douceur de ses lèvres longues et fines. L'homme se laissait faire, lorgnant les seins pointus de la fille, prêt à céder à la sollicitation.
Soudain il se dégagea, repoussant les appâts de Sarah, s'éloignant à grands pas.
A peine s'éloignait-il que la fille entendit un bruit de pas rapides derrière elle et se sentit saisie, les bras plaqués dans le dos. Trois policiers l'entouraient, deux hommes, dont un qui la maintenait, et une femme, plus jeune qu'elle.
Sarah jeta un coup d'œil alentour : toutes les filles avaient disparu, les voitures soudain se faisaient rares, et passaient rapidement. Moins aguerrie que ses collègues, elles ne les avaient pas vu venir.
Le faisceau d'une torche se braqua sur son visage :
- Tu es nouvelle toi ? On ne t'a jamais vu par ici !
Le faisceau descendit, éclairant sa poitrine dénudée, puis son ventre plat, puis son sexe nu et offert. Elle essayait de se dégager, mais l'homme qui la tenait la secoua pour modérer toute velléité de fuite.
- Pas mal ! Mais tu n'es pas toute jeune pour faire ça ! Vocation tardive ?
Sarah était paralysée. Le monde s'écroulait sur elle ! Sa déchéance allait être publique. Ses proches allaient être informés. Tous allaient apprendre que la nuit, elle faisait la pute au bois, se promenant nue entre les voitures….Jamais elle ne le supporterait.
- Allez, on l'embarque ! Passe-lui les bracelets.
Un claquement sec retentit, ses mains étaient bloquées dans son dos, dégageant sa poitrine, avançant ses petits seins. Elle n'avait même pas eu le temps d'enfiler son chemisier. C'est une femme nue qui monta dans le car de police.
La suite se déroula comme un cauchemar. L'interrogatoire, la photo dans le plus simple appareil, l'enfermement, l'homme à moitié ivre qui vint la rejoindre et les attouchements qu'elle dut subir.
Puis, le commissaire qui vint la libérer :
- Tu as de la chance ! Philippe T…. nous a demandé ce service. Allez, file !

Il m'attendait à la porte de commissariat. Il m'a réchauffée d'une couverture et m'a raccompagnée. Devant chez moi il m'a embrassé puis demandé de montrer ce que j'avais gagné : Neuf mille deux cent francs !
- Dommage, tu t'étais bien débrouillée. Garde l'argent. Mais demain tu recommences, dans un autre quartier bien sur. Et tu as intérêt à atteindre ton objectif de dix mille !



 

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