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     Je suis marié depuis bientôt 8 ans. Florence, mon épouse à comme moi 32 ans. Elle n'est pas vraiment portée sur le sexe et ne s'habille pas sexy. Elle n'a dans sa garde-robe qu'un seul string au milieu de ses slips classiques blancs. Elle enseigne dans une grande école de la ville. En bref c'est une épouse fidèle qui n'a connu qu'un seul amant .. moi. Jusqu'au jour où.
     Lundi de la rentrée des vacances de Paques.
Je rentre à la maison, mon épouse, Florence, me raconte sa journée. La remplacente de sa collègue n'est pas 'une' mais 'un'. Il a 35 ans et est par est-il sympathique. Je l'écoute d'une oreille distraite. Elle m'en parle pendant plus d'une heure. Et ce fut ainsi chaque soir de la semaine.
     Elle lui donnait un coup de main en lui prêtant des cours. Il était enchanté d'avoir une collègue si dévouée.
     Le mardi suivant :
     - Pourrais-tu manger chaud demain midi au bureau ?
     - Oui, bien sur. Mais demain on est mercredi, d'habitude on mange chaud ensemble le soir.
     - Demain, Marc m'a invitée à manger ensemble au resto pour me remercier. Cela ne te dérange pas ?
     - Non, pas du tout.

     C'est bien la première fois que mon épouse va manger en tête-à-tête avec un autre homme que moi.
     Je la regarde, elle est souriante.
     Tu peux commencer à regarder le film à la télévision, je prends un bain un j'arrive. Me lance-t-elle.
     Assis dans le canapé, l'heure avance. 1 h 15 d'attente. Elle se fait sûrement belle pour demain. Ce Marc lui ferait de l'effet ? Oserait-elle ? L'idée de voir Florence dans les bras d'un autre m'excite plus qu'elle ne me rend jaloux. C'est vrai qu'elle en parle beaucoup. Mais delà à. non pas elle.
     - Il est bien le film ?
     - Oui. Je te résume l'histoire ?
     - Non merci.
     Elle se blottit contre moi. Je l'embrasse dans le cou. Elle sent. ce n'est pas du parfum. C'est sa crème épilatoire. Elle s'est épilée pour lui. j'en suis sur. Je bande en pensant qu'elle a envie d'un autre homme. Le film se termine. Je veux l'embrasser tendrement mais elle sent ma queue bandée. Un petit bisou sur la bouche suivi par un .. 'Non, pas ce soir s'il te plait je suis fatiguée.'

     Le lendemain matin, je la regarde mettre son slip. Zut, je n'ai pas su voir ce qu'elle a épilé hier soir. Slip classique, jupe mais pas très courte. me serais-je trompé ? Je me fais des idées.

     - Tu as bien mangé ?
     - Oui, il a absolument voulu payer l'addition. Et, tu sais avant d'enseigner il a ..
     Et une demi-heure de blabla à propos de Marc. Je n'écoute pas, je la regarde. Elle est belle, ces yeux sont clairs et brillants.

     Dans le lit conjugal, je l'embrasse comme tous les soirs. Mais son baiser est appuyé.
     - Je t'aime. Viens sur moi. J'aime sentir ton corps sur moi. Me dit-elle.
     Sa bouche viens à la rencontre de la mienne.
     J'ai envie d'elle. Je caresse sa poitrine par-dessus sa chemise de nuit. Elle écarte doucement ses cuisses. L'appel est clair. Mes mains descendent, parcourent son ventre, descendent encore. Mes doigts arrivent à sa petite touffe. Florence les coupe d'habitude assez courts mais là son triangle est vraiment tout petit. Je glisse un doigt à l'entrée, j'écarte ses lèvres. Et enfin . je me lance :
     - Tu es trempée. Tu devais déjà être excitée avant que mon doigt indiscret ne te touche. Tu avais des envies ?
     Silence. Pour toute réponse, sa main vient serrer ma queue au garde à vous.
     - C'est ton dîner de ce midi qui ta donner des idées ?
     - ..
     - Il te plait ce Marc ?
     - Il est sympa.
     - Tu le trouves beau ?
     - Charmant.
     - Tu crois que tu lui plais ?
     - Peut être bien.
     - Qu'est-ce qui te fait dire cela ?
     - J'ai senti son genou frôler le mien pendant presque tout le repas et à la fin j'ai eut l'impression qu'il avait envie de m'embrasser.
     - Tu avais aussi envie de l'embrasser ?
     - .
     - Tu en avais envie ?
     - Oui.
     - Pourquoi ne l'as-tu pas fait ?
     - Je n'avais pas envie de te tromper. J'avais peur que tu sois jaloux. Mais. ta queue durcit encore dans ma main. Tu bandes à l'idée que je l'embrasse. Tu es un cochon.
     - Je suis un peu jaloux mais l'idée m'excite c'est vrai.
     - Tu serais prêt à accepter que je l'embrasse. Pour du vrai ?
     Mon doigt masse toujours son clito. Son cul se met à bouger en faisant des aller-retour.
     - Si tu en as envies, oui.
     - Il ne se limitera sans doute pas à un baiser. Tu serais d'accord qu'il me fasse l'amour et qu'il me perfore avec sa tige ?
     Je ne pouvais plus reculer :
     - Oui mais je voudrais être là. Je veux te voir jouir.
     - Tu es encore plus vicieux que je l'imaginais. Ton doigt m'excite.
     - Seulement mon doigt ou l'idée que tu te fasses sauter par un autre ?
     - Les deux. Je crois que je vais accepter ces avances.
     D'accord, tu veux être présent mais moi aussi j'ai des conditions.
     J'étais de plus en plus exciter.
     - Tout ce que tu veux.
     - Tout ?
     - Oui.
     - Un : c'est moi qui mène la danse. Deux : cette queue que je tiens dans ma main ne pourra plus jouir en moi, du moins pas avant que celle de Marc n'y soit passée.
     - C'est beaucoup me demander. Tu vas tout de même pas me laisser les couilles pleines pendant des semaines.
     - Ne te tracasse pas. Je te ferais jouir mais pas question de me la mettre. Et puis j'ai envie de sentir une tige bien dure dans mon trou, je tâcherais d'inviter Marc un de ces jours.

     Déjà huit jours, huit jours sans pouvoir faire l'amour à mon épouse.
     Je n'ose pas lui demander quand elle compte inviter Marc.

     Neuvième jour, vendredi 18h45.
     Je rentre du travail. Pas de Florence. La maison à l'air vide. Je monte à l'étage, il y a de la lumière dans la salle de bain. La porte est fermée.
     - Ne rentre pas. Je suis dans mon bain.
     - Depuis quand je ne peux pas entrer lorsque tu prends ton bain ?
     - Depuis aujourd'hui. Va préparer la table. Tu as 3/4 d'heure. Ah oui .. et puis mets trois couverts.
     C'est aujourd'hui. Je ne dis rien et descends préparer la table. Mon cour bat de plus en plus vite que l'heure avance.
     19 h15 et toujours rien, Florence est encore à l'étage. J'essaye de penser à autre chose en regardant la télé.
     J'entends ces pas dans l'escalier. Ces pas claques sur les marches.
     - Bonjour mon chéri. Tu as passé une bonne journée ?
     - Oui.
     - Tu vas voir la soirée sera encore meilleure. J'ai invité Marc.
     Je le regarde. Elle est magnifique. Florence porte une robe bleu marine avec un petit col, des boutons sur toute la longueur. Robe que je n'avais jamais vu. Elle me parait bien courte, elle s'arrête mi-cuisses. Ses chaussures sont également neuves : noires avec des talons. J'aimerais savoir ce qu'elle porte en dessous, je m'approche pour passer une main dans son dos.
     - Non, continues à regarder la télé et surtout ne me touches pas.
     Elle me connaît trop bien. Flo sait ce que j'avais dans la tête.
     Ding dong.
     - Va ouvrir stp.

     C'est vrai, il est sympa. Mais je ne le trouve pas très beau. Je suis sans doute un mauvais juge.
     Le repas se déroule en tout bien tout honneur. Marc ne devine sûrement pas la suite des événements.
     Mais comment Flo va-t-elle s'y prendre pour passer au stade suivant ?
     Marc rougit tout à coup et me lance un regard furtif. Il se passe quelque chose sous la table. J'avance mon pied afin de découvrir ce qui fait rougir notre ami. A peine ais-je toucher la jambe de mon épouse .
     - Chéri, tu veux bien débarrasser et préparer le désert on le prendra dans le living Marc, je t'en prie va t'asseoir dans le divan. J'arrive.
     Nous nous levons de table. Marc vers le divan. Flo vers les toilettes et moi vers la cuisine les bras chargés.
     Je me dépêche afin de ne rien rater de la suite mais Flo réapparaît assez vite et va rejoindre Marc. En passant, je remarque qu'elle a déboutonné les deux premiers boutons ainsi que le dernier du bas.
     Je prépare la glace tout en tendant l'oreille vers le salon car de la cuisine je ne peux les voir.
     - Tu sais c'est la première fois que je m'entends aussi bien avec un de mes collègues masculins. D'habitude je les trouve tarte.
     - C'est sans doute parce que tu as eut peu de collègue masculin.
     - Non, c'est pas cela. Je te trouve sympathique et même attirant.
     . silence..
     Je fonce vers le salon en tenant les raviers de glace. Marc est assis dans le canapé alors que Flo est juste en face de lui dans le fauteuil. Ses cuisses sont entre ouvertes. Il a du mal a détacher son regard des jambes de Flo. Je m'assieds à côté de lui et je comprends qu'il a du mal à regarder autre chose. On voit très nettement son string bleu foncé par-dessous sa robe. Aucun de nous n'arrivons à faire sortir le moindre son.
     - Je disais justement à Marc combien il était agréable de travailler avec un homme. Bien d'autres collègues sont jalouses. Même toi, mon chéri. N'est-ce pas ?
     - Oui, un peu.
     - Un peu seulement c'est vrai. Et puis c'était avant notre petite conversation de la semaine passée. J'ai beaucoup appréciée ton invitation de la semaine passée. Je l'ai trouvée très romantique. C'était le but non ?
     - C'était pour te remercier.
     - J'ai cru que tu allais m'embrasser à la fin du repas. Tu en avais envie n'est-ce pas ?
     La question n'amena pas de réponse. Il est vrai que ma présence ne facilitait pas les choses. Mais Flo voulait l'avoir.
     - .. Mon amour, cela t'aurai dérangé que j'embrasse Marc ?
     - Non, je ne crois pas.
     - Je suis sur que tu aurais même aimé. Tu vois, Marc, tu as raté l'occasion de goûter la douceur de ma bouche. En parlant de bouche. Bon appétit.
     Je ne peux détacher mes yeux de Flo. Sa poitrine est presque apparente, elle ne porte sûrement pas de soutien. Je devine la pointe de ses seins. Flo mange sa glace tout en regardant Marc droit dans les yeux.
     Je me lève pour mettre un CD car l'ambiance est tendue. Chaude mais tendue. Je suis terriblement stressé mais également excité, même si ma queue ne bande pas encore.
     - Ohh zut.
     Flo vient de faire tomber un bout de sa glace sur sa robe. Je veux l'aider .
     - Cela ira. Marc, stp. Tu veux bien prendre les essuie-tout sur la table et me donner un coup de main.
     - Les voici.
     - Tu viens m'enlever . là sa coule. c'est froid.
     De la glace glisse sur sa peau et descend dans son décolleté. Marc fait du mieux qu'il peut.
     - Ouvre encore un bouton. Il a glissé encore plus bas.
     Je n'en reviens pas. Le CD en main, je regarde Marc lui caresser les seins. L'essuie-tout est par terre, il les touche à même la peau. Elle approche son visage. Il ne peut résister à l'appel. Leurs lèvres se touchent. Ils s'embrassent doucement. Les langues sortent et se frôlent. Les doigts de Marc effleurent les pointes des seins.
     Je dépose le CD.
     - Mets-nous de la musique mon Chéri. C'est bon, il embrasse bien. Monte dans notre chambre. Tu trouveras un petit mot sur notre lit. Suit les instructions et viens nous rejoindre. Dépêche-toi, j'ai envie de lui. De sentir ces mains sur mon corps.
     - J'aurais voulu rester près de toi.
     - Vas-y ! ! Sinon.

     Florence ne m'a jamais parler sur ce ton. Le 'sinon' me faisait peur. Des frissons me parcouraient le ventre.
     En quelques secondes, j'étais dans la chambre. Une lettre et un sac en plastique trônaient au milieu du lit.
     " Oui, j'ai envie de Marc. De son corps mais c'est toi que j'aime. Je vais faire l'amour devant toi et pour toi. Ouvre le sac. Déshabille-toi et enfile ce que je t'ai acheté. Ensuite, viens nous rejoindre. "

     J'ouvre le sac. Un slip noir en latex. Je ne savais pas que Flo avait de tels goûts. Je ne me suis jamais aussi vite déshabiller mais pour mettre le slip . il colle à la peau. Il est trop petit mais tant pis.

     Dans le salon, je les retrouve tous les deux en slips :
     Marc en caleçon américain et Flo avec son string. Elle est assise dans le divan avec Marc à genoux entre ses cuisses. Il lui suce les tétons.
     - Viens me montrer cela. Il est parfait ce slip. Je voulais que tu ais les couilles bien coincées et que ta queue aie du mal à se déployer. Regarde, Marc. On dirait qu'il commence déjà à bander.
     - Il me sert un peu trop.
     - Je ne t'ai rien demandé. Je ne veux pas t'entendre dire un mot sans que je ne te le demande. Je t'avais dis que se serait moi qui mène la danse. Je voudrais vous avoir tous les deux rien que pour moi. Pour une fois, c'est moi qui décide de tout. Vous êtes tous les deux d'accord ?
     - Ok.
     - D'accord.
     - Regarde-le comme il me suce bien les tétons. Ils sont tout durs. Descend. Embrasse mon ventre. Encore plus bas. Oui, donne des bisous à ma petite chatte par-dessus mon string. Tu as envie de me l'enlever ?
     - Oui.
     - Que me ferais-tu juste après ?
     - Je continuerai à lui faire des câlins.
     - Décris-moi tout. Excite-moi et fais bander mon petit chéri.
     - Je glisserai ma langue entre tes lèvres. Je l'enfoncerai doucement comme un petit sexe. Je boirai ta liqueur. Je prendrai ensuite ton bouton entre mes lèvres. Ma langue le frottera. Lorsqu'il sera bien dur, je fermerai ma bouche dessus. Tu sentiras mes dents et je l'aspirai de plus en plus fort.
     - Mon chéri, tu crois que cela excite Marc de me raconter tout cela ?
     - Sans doute.
     - Va vérifier. Touche-lui la queue.
     - La situation m'excite mais je n'aime pas faire cela.
     - Tu m'as donné carte blanche. C'est moi qui décide. La situation dans la quelle on se trouve, c'est un peu ta faute. Et puis n'oublie pas, je tiendrai parole, ta queue ne reverra plus jamais ma chatte.
     Je n'avais pas le choix. Je la connais, elle en est capable. Et puis, toucher une autre queue ne me dérangeait pas vraiment. Le faire devant elle me dérange plus.
     Marc est toujours devant elle. Ma main passe par derrière entre ces cuisses. Je touche sa queue. Elle est grosse et dure. Il se laisse faire.
     - Comment est-elle ?
     - Elle est dure. Il me semble qu'elle est plus courte que la mienne mais elle beaucoup plus épaisse.
     - Je vais avoir le trou bien remplis alors. Et toi Marc tu as envie de me faire tout ce que tu m'as raconté ?
     - J'en crève d'envie.
     - Lève-toi et mets-lui cela.
     Florence tend un masque, style 'Zorro' mais sans les trous pour les yeux. Où a-t-elle été chercher cela ?
     - Non, Flo on avait dit que je voulais te voir.
     - C'est moi qui décide. Tu m'avais demander d'être présent.
     Et puis maintenant, c'est tout. Soit on continue soit on arrête tout. Au risque que je te trompe derrière ton dos. Tu choisis .
     - Je t'aime et tu m'excites beaucoup. j'accepte.
     Je ne vois goutte. Le noir absolu. Pas même une ombre. Je n'ai que mes oreilles pour vivre la suite de cette
     expérience unique.
     - Mets-toi derrière Marc. Enlève-lui son caleçon et masse lui la tige. Enlève mon string, Marc. Et dis-lui ce que tu vois.
     - Elle a la chatte toute lisse. Je ne vois pas un seul poil. Ses lèvres sont collées l'une à l'autre.
     - Écartent mes lèvres avec tes doigts. Et continue !
     - Sa chatte est mouillée. Je peux même voir des gouttes.
     - Vas-y fais moi ce que tu m'as décris tout à l'heure. Et toi mon chéri. Tu as réussi à faire grossir sa queue ?
     - Un peu oui. J'ai senti qu'il cela l'excitait lorsqu'il regardait ta chatte.
     - Mets un doigt devant l'entrée de ma chatte. Enfonce-le moi tout doucement. Pas si vite. Je veux le sentir rentrer millimètre par millimètre. Approche-toi mon amour viens m'embrasser. Hmmmm. Sors ta langue. Je veux la sucer.
     Flo suce ma langue, l'aspire dans sa bouche jusqu'à me faire mal. Sa main vient caresser mon sexe comprimé par mon slip.
     - Tu bandes bien mon salaud. C'était une bonne idée ce slip. Je crois que je t'obligerai de le porter mercredi prochain au bureau. Je t'appellerai au téléphone et te ferais bander en te racontant tout ce que Marc me fait. Viens j'ai envie d'autre chose.
     Dans l'obscurité le plus total, je sens les corps en mouvements. Marc se couche sur le tapis.
     Flo me pend la main, me force à me mettre à genoux, me pousse vers l'avant.
     - Ouvre la bouche. Suce ! Allez vas-y.
     Pour la première fois de ma vie j'ai une queue en bouche. Elle a un petit goût, difficile à définir.
     - Tiens un préservatif. Enfile-le sur sa barre. Suce-le à nouveau. Mouille-la bien. Prépare-la j'ai envie qu'elle glisse bien.
     Je fais de mon mieux, les yeux bandés j'ai vraiment du mal à m'exécuter. L'idée que mon épouse se fasse prendre par ce boudin bien épais me donne des frissons.
     - Sa queue est prête ?
     - Je crois, oui.
     - Tiens-la dans ta main. Je vais m'asseoir dessus. Tu la guideras toi-même dans mon trou.
     Elle va vraiment le faire. Il y à 2 semaines d'ici je n'aurais pas imaginer qu'elle face l'amour à un autre homme que moi.
     - Hmmm. C'est bon. Elle est grosse. Elle est épaisse. Bien plus que la tienne. Dis-lui, Marc, comme ma chatte est brûlante et accueillante.
     - Tu es bonne. C'est la première fois que je fais l'amour avec un couple et c'est délicieux. Ton sexe aspire ma verge. Ma queue va et viens. Elle me griffe la poitrine. Ses ongles me font mal. Elle me pince les tétons. Cela me fait mal. Hmmmm. Pas trop fort stp.
     - Il faut bien un peu souffrir, non ? Tu as mal mais je suis sur que tu aimes.
     - C'est vrai cela m'excite aussi.
     - Viens mon chéri. Approche ! Touche-moi mes seins. Sent mes bouts comme ils sont durs. Tu sais comme c'est bon de se faire pincer les tétons n'est-ce pas. Tu as envie que je pince ceux de Marc encore un peu plus fort ?
     - Oui, vas-y. Encore plus fort. J'aimerais l'entendre gémir de douleur et de plaisir.
     - Hmmmmm. Doucement stp.
     - Tu me demandes de serrer moins fort et ta queue me montre que tu en désires encore plus.
     - Retire-la. On va changer de position. J'en veux plus.
     Flo me retire mon slip et ma tige lui saute à la figure. Sa bouche s'en empare. Je n'ai, hélas, droit qu'à quelques secondes de ce traitement. Florence m'enlève le bandeau. La lumière m'aveugle.
     - Couche-toi sur le dos. Viens goûte ma chatte, renifle-la. Sens ! Une autre queue que la tienne vient de lui rendre visite. Viens, Marc, remets-la-moi.

     Couché l'un sur l'autre en 69. Marc s'approche, son membre en main. J'ai une vue imprenable. Sa queue glisse vers le trou de mon épouse. Les lèvres s'écartent. Il entre. Sa queue disparaît entièrement.
     - Suce mon clito. Suce-le ! Il me bourre bien. Je suis remplie. Je sens ces couilles contre mes cuisses. Ta femme se fait prendre sous tes yeux et tu bandes. Je vais prendre ta sucette en bouche et je veux que tu jouisses en même temps que Marc. Peut être que la prochaine fois tu te feras prendre aussi par Marc.
     Marc lime, lime. Je vois la chatte de Flo gonfler de désir. Presque dix minutes de ce traitement. Je dois me concentrer pour ne pas jouir. Je n'en peux plus. Marc aussi à envie de jouir, je vois les veines de son sexe.
     - Allez-y envoyer moi votre sauce.
     Marc et moi, nous jouissons de concert. Flo était devenue notre maîtresse. De petite femme modèle, elle s'est transformée en une dominatrice hors paire.
     Va-t-on participer à la réalisation de la suite de son phantasme ? L'avenir nous le dira.

 

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