aris erotPaque - confessions libertines - club échangistes - Paris  érotique - histoires érotiques - club libertins - Paris érotique - confessi erotique - confessions libertines - club échangistes  -  Paris érotique  -  histoires érotiques - club libertins - Paris erotique -    ons   libertines- club échangistes - Paris erotique - histoires érotiques - club libertins - Paris erotique- confessions libertines - club confession libertines - club échangistes - Paris érotique  -  histoires     -échangistes   Paris erotique - confessions libertines - club échangistes
Paris érotique - confessions libertines - club échangistes - Paris érotique - histoires érotiques - club libertins - Paris érotique - confessions libertines - club échangistes - Paris érotique - histoires  échangistes - Paris érotique - histoires érotiques - club libertins - Paris érotique fessions libertines - club échangistes - Paris érotique - histoPlaisirs routiersParis érotique - confessions libertines - club échangistes - Paris érotique - histoires érotiques - club libertins - Paris érotique - confessions libertines - club échangistes - Paris érotique - histoire   érotique - confessions libertines - club échangistes - Paris érotique - histoires érotiques - club libertins -Paris érotique - confessions l club l
Paris erotique - confessions libertines - club échangistes - Paris erotique - histoires érotiques - club libertins - Paris erotique - confessi erotique  - confessions libertines - club échangistes  -  Paris erotique  -  histoires érotiques  -  club libertins  -  Paris erotique  -   ons libertines - club échangistes - Paris erotique - histoires érotiques -club libertins -Paris erotique - confessions érotiques - clubconfession libertines - club échangistes - Paris erotique - histoires échangistes   -  Paris erotique - confessions libertines - club échangistes
Vacances
Une épouse, 2 vies
Pute au Bois
Femme d'Officier
En boite au Maroc
Chantage
Belle-mère
Aventure au Sauna
Visite contraignante
Femme consciencieuse
Mariage mouvementé
Les copains d'abord
visite medicale
Plaisirs routiers
Negociee a la Medina
femme de militaire
Delicieux supplices
Carnaval, Sexe et Samba
Confession d'une epouse
Dettes avec son banquier
comportement de salope
Contrat
Prof vicieuse
seance photos
Belle-mère Sexy
Dans le Train
Initiation colorée
Punition scolaire
Chez le Gyneco
Cocu voulu
Vicieuse par Amour
Femme consciencieuse
Premier Black
Amante BCBG
les ouvriers
Avec les footbaleurs
Trop bu
Au chantier

 

Précédente Remonter Suivante

Je suis bourgeoise, plutôt BCBG,et mon vice c'est le camion,le camionneur,le routier,les mains fortes, les étreintes rudes dans des cabines imprégnées de sueur, de tabac froid et d'un relent de gasoil. Je connais toutes les aires d'autoroutes de la région ; la vue des longs bahuts parqués suffit à m'en promettre. Pour chaque bahut, un homme arrêté, affamé ou écroulé de fatigue, mais un homme... Pour chaque bahut au repos, un sexe qui veille que j'ai envie de sucer, de me faire mettre... Toutes les 5 semaines, le samedi soir, je choisis donc une aire d'autoroute. Dès le départ de la maison, durant le parcours d'approche sur l'autoroute, je sens mon bas ventre tiédir, ma chatte se gonfler et s'humidifier sur le cuir de ma BM. Ma technique de chasse est simplissime. J'adopte une tenue fort correcte, qui correspond d'ailleurs à mon style classique ; par exemple, l'hiver, ce sera un long manteau de laine qui masque le haut de bottes en cuir. cela me permet d'approcher de mes proies en toute impunité, et même d'être reconnue sans pour autant prêter à confusion. Mais dès que la proie est approchée, je ferre : sous le manteau, je ne porte rien que des bas de soie et un porte-jarretelles. Cet attribut désuet, raffiné et bourgeois contribue à mon excitation,et le fait d'être nue, prenable immédiatement, correspond aussi, je le sens confusément, à mon fantasme. Ce samedi-là,comme à chaque fois,je gare ma BM sur le parking voitures, côté station services ,je me dirige vers le resto-route, et je m'accoude au bar. La clientèle est variée : beaucoup de routiers, mais aussi des familles ou quelques VRP pressés. Je fais mon choix. J'ai choisi ; je prends ma consommation et je me dirige vers l'homme qui finit son café. Ma technique est simple ;je lui dis que je n'ai jamais visité de cabine de routier, et que je lui serais très reconnaissant si il avait un peu de temps pour me la montrer ... En général,on me reçoit 5 sur 5....et celui-ci n'a pas fait exception à la règle... Arrivée au camion, je passe devant et défais les trois boutons de mon manteau ; le type voit tout de suite que je suis nue sous mon manteau. En escaladant le marchepied, je fais en sorte de lui dévoiler mes jambes gainées de soie Le type ce soir est un colosse .Il est à deux doigts d'exploser,et sa main tremble en glissant la clef dans la serrure de son bahut . Il me laisse à peine monter qu'il est déjà sur moi . Il me jette sur la banquette, ramène mes genoux sous mon ventre, relève mon manteau et me fourre .
C'est brutal, rapide, comme j'aime... Je hurle de plaisir aussitôt . Y-aura-t-il une suite ? Oui.... Et cette suite n'a pas été dans mes plans habituels. Dire que j'ai été consentante de bout en bout me gêne, mais je ne sais pas non plus dire à quel moment j'aurais pu ,et surtout voulu tout arrêter... Il m'a d'abord caressée. Des caresses douces mais fortes en même temps . Autour de mes seins, puis à leurs pointes, je ressens comme des décharges. Au creux de mon sexe, il fait de nouveau jaillir ma fontaine. Tandis qu'il me carresse, il a les mots crus qui m'excitent : "Mais c'est qu'elle mouille la bourgeoise"......."Elle en veut encore..."... Nous sommes assis côte à côte, au centre de la banquette, presque comme si l'on conduisait. Soudain, sans prévenir, avec à la fois de la brutalité et de la précision, il m’empoigne,me soulève,et m'empale sur le levier de vitesse . Mon sexe dégoulinant de mouille absorbe sans encombre le pommeau, tandis que l'homme me repose assise sur ses cuisses. Sur le coup, je suis suffoquée : la taille de l'engin, la soudaineté du geste, une douleur aiguë mais brève lors de la pénétration,et puis très vite le caractère complètement obscène de la situation m'a follement excitée. Avec ses cuisses musclées, il me fait monter et descendre à sa guise sur son engin, dont le "gland" monstrueux bute au fond de mon con. Il me bascule la poitrine sur le plastique froid de la lunette avant, mon visage contre le pare-brise, mon corps à l'horizontale. Alors que je suis toujours empalée par le levier de vitesse,je le sens forcer sa verge toujours bandée comme un arc à l'entrée de mon cul . Il m'encule brutalement, et j'hurle une jouissance démente. Tout en me besognant profondément, il décroche sa CB et appelle plusieurs de ses potes. Inutile de vous décrire la teneur de ses commentaires, et inutile de vous préciser qu'au bout de quelques minutes une dizaine de routiers se pressent autour du camion... Les quatres premiers sont rentrés dans la cabine ,les suivants ont bien du se contenter de mater à partir d'un autre bahut venu se coller face au notre, pare brise contre pare brise... Ils me laissent tous "accrochée" sur mon pal d'acier , et se sont succèdent dans mon cul. L'un d'eux a soudain une idée ; mettre les gaz... Les vibrations du moteur transforment mon pal en un gigantesque vibromasseur qui me secoue si violemment que mon corps entier se déporte au rythme des régimes-moteurs. Les types comprennent vite ce qu'ils peuvent tirer des variations de régime; l'accélération réduit l'amplitude de la vibration mais accroît sa fréquence ...
J' hurle mon plaisir ignoble sans discontinuer, les seins collés contre le pare-brise Dans leurs cabines en face, à 10 centimètres à peine, je vois les visages stupéfaits des routiers qui attendent leur tour . Je suis possédée par les bites et les mains des camionneurs qui se succèdent , mais ce soir, le camion lui même est mon meilleur amant, un amant puissant et infatiguable,qui emplit de son souffle rauque l'espace exigu de la cabine . Dehors, un couple agé regagne sa voiture,et jette un regard bref au camion . Là où ils sont,ils ne peuvent rien de ce qui est en train de se passer dans la cabine . J'entends l'homme dire suffisament "haut pour qu'on puisse bien l'entendre de la cabine : " Ces cons,tout ce qu'ils savent faire, c'est faire : "vroum,vroum" avec leur camion pour épater "les poufs" .... De mon temps...." .

Précédente Remonter Suivante

Pour toutes vos suggestions, propositions, confessions, photos, envoyez nous vos e-mail à :  Paris érotique