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La grosse limousine noire vient stopper en tanguant sur ses suspensions devant les baraquements du chantier entourés de pièces de bois, de panneaux de construction et divers outils. D´étroites planches servant de passerelle mènent aux différents préfabriqués ; elles disparaissent par endroits dans le sol rendu boueux par les incessantes pluies de la semaine précédente. Le chauffeur portant un uniforme sombre et coiffé d´une casquette contourne le véhicule pour venir ouvrir la portière arrière. Deux longues jambes gainées de bas noirs apparaissent ; une très belle femme, vêtue d´un imperméable ciré noir sort du véhicule ; le chauffeur délace la ceinture du vêtement pour le retirer des épaules de la belle créature et le jeter sur le siège arrière de la voiture. La femme est nue, les jarretières de ses bas noirs tranchent sur sa peau claire. Après lui avoir menotté les poignets dans le dos, le chauffeur fixe une longue laisse au collier de chien qui lui ceint le cou, puis l´entraîne à sa suite sur les planches instables en direction d´un hangar de tôles. Incapable de résister à la traction de l´homme, elle avance en titubant sur ses escarpins. Son maquillage délavé par de grosses larmes dégouline sur ses joues sans réussir à enlaidir son fin visage encadré par des cheveux de jais taillés à la garçonne. Ses seins, deux ogives de chair blanche, incroyablement développés par rapport à sa silhouette élancée et défiant la loi de l´apesanteur, tressautent à chacun de ses mouvements. Brusquement, elle perd l´équilibre sur une planche moins rigide et s´affale de tout son long dans une flaque boueuse en poussant un cri aigu. « Debout, petite salope ! Dépêche-toi ! Ne cherche pas à te défiler, c´est inutile » dit le chauffeur en tirant sur la laisse pour obliger la jeune femme à se relever. Elle essaie à plusieurs reprises de se mettre à genoux puis debout, mais glissant sur la terre détrempée, elle retombe à chaque fois dans le cloaque. Finalement empoignée par les cheveux, elle se redresse, titubante, pleurant et toussant, son corps superbe recouvert d´une boue gluante, ses cheveux collés. Ils entrent enfin dans le hangar, accueillis par un homme trapu . « Vous voilà enfin ! Je veux bien donner du bon temps à mes gars, mais faudrait pas qu´ils prennent trop de retard dans le boulot. »

Puis avisant la jeune femme ruisselante d´eau boueuse : « Dites donc, elle est pas très reluisante votre pute ! ». « Vous avez bien un jet d´eau dans votre atelier » lui réponds le chauffeur d´un air amusé. L´homme déroule un long tuyau d´arrosage et se met en devoir d´asperger la pauvre jeune femme qui tire sur sa laisse en criant, pour tenter en vain d´échapper au jet glacé. Au bout quelques minutes, les traces de boue ont totalement disparues ; tremblante et suffocante, elle est entraînée sous un palan par le chauffeur. Ses poignets, libérés des menottes sont liés au crochet du palan par une solide corde de chanvre. La chaîne remonte lentement jusqu´à ce que la jeune femme se retrouve bras étirés au-dessus de sa tête Entre temps plusieurs ouvriers sont entrés dans le local, ainsi que l´occupant de la grosse limousine, un sexagénaire distingué qui s´est assis, un peu en retrait sur une caisse de bois. « Approchez, messieurs ! Venez tâter la marchandise ! » Les hommes s´avancent, presque timidement, ils sont maintenant une vingtaine, noirs, magrébins, en combinaison de travail. Cinq, plus hardis, commencent à palper le corps frissonnant ; leurs mains calleuses et pas toujours très propres caressent la peau couverte de chair de poule, leurs gros doigts, bientôt, s´insinuent entre les fesses rebondies, puis écartant fermement les cuisses de leur victime sanglotant de honte, ils fouillent sans ménagement son entrecuisse dépourvu de toute pilosité, tandis que d´autres malaxent avec délectation les gros seins aux aréoles fripées et aux mamelons durcis par la douche glacée. Les commentaires salaces commencent à fuser avec l´excitation qui monte : « Putain ! ! Quels nichons elle a ! ! » « Et ce cul ! je vais la défoncer cette salope » « T´as vu sa chatte complètement rasée ? Et elle mouille la garce ! » « Bordel ! ! J´ lui est mis un doigt dans le trou du cul ! Ca rentre tout seul » « HAAH ! ! ! .... NOOON ! ! ! OOHOOO ! ! NON, PITIE » Le visage noyé de larmes, la jeune femme, humiliée, mortifiée, supplie, tandis que les mains qui explorent ses orifices lui arrachent un cri de douleur. Le chauffeur vient tempérer l´ardeur grandissante des ouvriers. «Attendez, les gars ! Vous allez pouvoir tous la baiser, mais avant, il faut que je fasse les présentations ! » « Adriana est la femme de mon patron, ici présent. C´est une vraie nymphomane et elle aime les émotions fortes, aussi comme leur différence d´age ne permet pas à mon patron de la satisfaire, il lui organise des séances comme celle d´aujourd´hui. Mais pour qu´elle prenne bien son pied, cette salope a besoin qu´on lui chauffe le cul. » Tout en disant cela, il était allé prendre un martinet muni des longues lanières de cuir dans la sacoche posée aux pieds de son patron. Se campant fermement sur ses jambes à deux mètres derrière sa patronne qui jette un regard affolé par-dessus son épaule, il assure le manche du martinet dans sa main. « Pas trop fort, je t´en prie ! ! » supplie-t-elle dans un sanglot. « Compte sur moi, ma belle » répond-il narquoisement. Puis d´un ample mouvement, il lance le martinet en direction des fesses crispées.

Les lanières percutent les belles rondeurs dans un crépitement sec. Adriana bondit en poussant un cri strident. Déséquilibrée par le rappel de chaîne du palan, elle repart en arrière en pivotant sur elle-même ; Ramenant d´un geste sec son bras dans l´autre sens, Kurt cingle à la volée la poitrine offerte qui s´écrase sous le choc. « AAHHAARRRR.... ! ! ! NOONNN.... PAS CAAAA ! ! ! ! » Se replaçant rapidement, le chauffeur flagelle une nouvelle fois le derrière trémulant d´Adriana qui effectue un saut de carpe. Son tortionnaire lui avive les fesses d´une hanche à l´autre et du bas du dos jusqu´en haut des cuisses, frappant à un rythme soutenu. Variant ses angles, il donne six ou sept petits coups secs et rapides au même endroit puis, assène un coup très appuyé, pour recommencer immédiatement plus loin. Au début sa victime se contentait de crier sa douleur, mais maintenant, ses nerfs craquent, braillant comme une folle à chaque cinglée, elle trépigne, se tord, bondit comme une possédée en suppliant ou insultant son bourreau qui insensible continue de la flageller avec un plaisir évident. « AAAAHHAARRRR ! ! ! !....SALAUD ! ....PAS LES SEINS ! ... NOOOHHAARRRHHHAAA ! ! ....ASSEZ.... PITIE AAHHHAARRR ... ARRETEZ... ORDURAAHHAAARR ! ! ! » Quatre fois de suite, Kurt vient de lancer son martinet sur la poitrine tressautante de sa patronne, imprimant des traînées écarlates sur les deux gros obus. Puis sans lui laisser le moindre répit, il reprend la flagellation du derrière dont la couleur vire au rouge vif. Les hommes observent, les yeux exorbités, le spectacle que leur donne bien involontairement la pauvre femme dont les cris stridents résonnent dans le hangar. Les coups cessent enfin et elle se laisse prendre à la chaîne, secouée de hoquets. Etendant son bras dans une attitude théâtrale pour désigner sa victime, il s´adresse aux ouvriers : « La voilà bien échauffée, cette salope, mais pour qu´elle profite mieux de toutes vos grosses bites et qu´elle jouisse comme une chienne en chaleur, je vais maintenant lui rôtir le cul et les nichons à coups de fouet. » A l´annonce de ce surcroît de torture, Adriana, paniquée, se met à crier et supplier : « NOOONNN... JE T´EN SUPPLIE... DETACHE MOI....JE N´EN PEUX PLUS... ASSSSEZ ! ! ... HUBERT, DIS-LUI D´ARRETER...OOOHHH ...JE FERAIS CE QUE TU VEUX... » Le sexagénaire sortant de son mutisme ordonne d´une voix grave. « KURT, METTEZ LUI LES PINCES A CETTE COLOMBE... JE VEUX L´ENTENDRE GEULER » « BIEN MONSIEUR » « NOOONNNN... NOOONN....PAS LES PINCES... JE NE VEUX PAS....ORDURES ! ! ! VOUS N´AVEZ PAS LE DROIT...LAISSEZ MOI PARTIR ! !...OOHH PITIEEEE.... NOOOOONNNRRHHHH..... » Elle se débat comme une forcenée au bout de sa chaîne sous les encouragements et les quolibets des hommes. Un noir vient, à la demande du chauffeur, ceinturer la pauvre femme qui se contorsionne en hurlant de terreur. Kurt empoignant à pleine main un sein, le presse comme un énorme fruit pour en faire saillir le mamelon, puis d´un geste rapide et précis, il pose une pince métallique aux mâchoires crantées sur le téton et lâche la chaînette pourvue d´une grosse boule d´acier. Le cri d´Adriana se transforme en hurlement. Une deuxième pince placée sur l´autre sein produit le même effet. Elle se convulse et trépigne, essayant vainement d´échapper aux bras puissants qui la maintiennent ; mais ce n´est pas tout, l´obligeant à écarter largement les jambes, son chauffeur à genoux devant elle, glisse deux doigts dans sa vulve pour capturer son clitoris humide et gonflé. Un beuglement assourdissant jaillit de la bouche grande ouverte de la pauvre esclave, Kurt vient de poser une troisième pince emboulée sur la petite excroissance de chair. Incapable de supporter stoïkement l´étirement des trois points les plus sensibles de son corps, crispée à se rompre les os, tremblante de la tête aux pieds, les yeux exorbités, Adriana hurle interminablement. Son bourreau revient vers elle avec à la main un fouet fait de fines bandes de cuir tressées. Il attend quelques minutes qu´elle se calme, laissant les hommes se repaîtrent du spectacle. Maintenant, pendue par les poignets à la chaîne, ses jambes ne la portant plus, elle râle lamentablement. Armant son bras, Kurt lance d´un air sadique : « APRES LES HORS D´OEUVRES, VOILA LE PLAT DE RESISTANCE. REGALE TOI MA BELLE ! » Manié avec adresse, le fouet siffle et percute les fesses déjà enflammées. Adriana bondit, semblant vouloir grimper au palan, en poussant un hurlement formidable, suivi des cris abominables. Kurt s´étant placé assez loin de sa victime, seuls les derniers cinquante centimètres de la lanière viennent cingler violemment le derrière tressautant pour y imprimer de fines traînées purpurines, qui se boursouflent immédiatement. Les bondissements et les contorsions de la malheureuse entraînent les boules d´acier dans tous les sens, sautant, tournant et retombant sans arrêt, elles tiraillent abominablement sur le clitoris et les seins. Insensible aux vociférations de sa patronne affolée de douleur, le chauffeur continue de plus belle de lui ravager le postérieur zébré de traces violacées qui s´entrecroisent en un réseau de feu.

A plusieurs reprises, changeant de position, Kurt cingle sauvagement la superbe poitrine qui s´écrase sous le choc et s´orne de balafres enflammées. Rugissante de l´abominable douleur qui lui ravage les seins, Adriana se tord comme une possédée, la bouche ouverte sur un rictus terrible, bavante, braillant de toutes ses forces. Vingt, trente, quarante fois ou plus le terrible instrument vient claquer furieusement sur le beau corps nu de la pauvre esclave qui bégaie des mots incompréhensibles entre ses beuglements atroces qui couvrent les commentaires et les exclamations d´encouragement des spectateurs. Les coups cessent enfin, mais n´ayant pas pris conscience de la fin de son supplice, la malheureuse crie pendant plusieurs minutes. Les pinces lui sont retirées, lui arrachant encore des hurlements déchirants. Détachée, elle s´effondre sur le sol de terre battue, gémissante, râlante, le visage noyé de larmes. « Elle est à vous messieurs ! Prenez là par tous les trous, elle adore ca ! ! ! » Déjà deux hommes se sont précipités et ouvrent fébrilement leurs combinaisons de travail pour en extirper leurs verges congestionnées. Saisissant sans ménagement Adriana par les hanches, l´un d´eux la met à quatre pattes et s´agenouillant derrière elle, la pénètre d´un grand coup de reins en poussant un cri de victoire. « HAAARRAAHH ! ! ! ... JE NE VEUX PAHHMMUUMMMFF ! ! ! » une deuxième bite vient de la bâillonner. Une main crochée dans ses cheveux, l´homme, un arabe, grand et maigre, lui pistonne la bouche, enfonçant sa verge sombre et cambrée jusqu´aux testicules. Ils jouissent rapidement et presque simultanément en poussant des grognements de plaisir. Immédiatement, deux autres les remplacent et un troisième présente lui aussi sa verge devant le visage d´Adriana. Petit à petit, une vague de plaisir l´envahit, complètement passive quelques instants plus tôt, elle commence à lancer ses fesses au devant du dard qui la pénètre, ses cris deviennent râles alors qu´elle passe d´une queue à l´autre, la bouche dégoulinante de salive. La douleur de la terrible flagellation ne s´est pas apaisée et mêlée à l´humiliation d´être traitée comme un objet et exhibée comme une bête cela la précipite vers un orgasme formidable que rien ne peut endiguer. Elle se met à crier et à ahaner de plus en plus fort et lorsque les deux hommes devant elle éjaculent ensemble en longs jets épais sur sa figure et que le troisième se retirant de son vagin détrempé lui englue littéralement la raie des fesses avec sa semence, elle joui en poussant un long cri rauque qui se termine en violents sanglots. Les hommes agglutinés autour de la fille s´écartent brusquement pour laisser passer un colosse noir entièrement nu qui s´avance la bouche ouverte sur un large sourire. Son sexe, semblable par sa taille et sa forme à une massue préhistorique, bat contre son ventre proéminent au rythme de sa démarche lourde. « Regarde ce que tu va prendre dans le cul, ma belle » lance un des ouvriers Un concert d´exclamations enthousiastes accueille la hideuse proposition. La fille agenouillée, coudes au sol redresse la tête et apercevant la monstrueuse mantule se met à trembler et à crier de terreur. Alors que le géant vient se placer derrière elle, Adriana rassemblant ses forces bondit entre les ouvriers surpris, mais elle est stoppée net dans son élan par son chauffeur qui l´entraîne à nouveau sous le palan auquel elle se retrouve bientôt attachée. Le noir, un instant contrarié, saisi fermement les hanches enflammées par le fouet de ses mains puissantes et ployant les genoux, il tente de glisser son sexe démesuré entre les fesses désespérément crispées de la pauvre qui hurle de désespoir. « NOOOONNNN... PAS CA ! ! !... IL EST TROP GROS.... NNNOOHHAAA...ARRETEEEEZ, VOUS ETES FOUS ! ! ! ! IL VA ME DECHIRER.. NNOOOONNNNN » Soufflant et suant, l´homme tente en vain de forcer le passage. Le chauffeur décide d´intervenir ; il place à nouveau les terribles pinces sur les tétons déjà tuméfiés et tire sur les chaînettes pour faire hurler sa patronne comme une folle. Sous l´acuité de la douleur, Adriana oublie de crisper ses muscles fessiers, profitant de l´occasion, le black franchit la résistance illusoire avec un cri de triomphe. Le gland hypertrophié force le sphincter anal qui s´ouvre brusquement sous la formidable poussée. Un hurlement fantastique résonne dans le hangar, la tête violemment renversée en arrière vient cogner l´épaule de l´homme qui la socratise, les muscles tendus à se rompre, la pauvre femme dont le sang s´est retiré du visage et le corps s´est couvert de chair de poule, tremble convulsivement en hurlant à se déchirer les cordes vocales.

La brute, les mains solidement crochées dans les hanches de sa victime, marquant une pause, se délecte de sentir l´anus distendu à la limite de la rupture palpiter autour de son membre monstrueux. Puis glissant une main sur la vulve d´Adriana, il pince de toutes ses forces le clitoris rendu horriblement sensible par les morsures des dents métalliques ; sous l´intensité de la fulgurante douleur, elle jette ses fesses en arrière s´empalant elle-même un peu plus sur l´énorme verge en gagnant d´un coup une bonne dizaine de centimètres. Encore deux ou trois poussées sauvages et les lourds testicules viennent frapper les fesses brûlantes de la pauvre fille qui braille comme une damnée. « Enculée à fond la salope ! » « Vas-y Mamoud, ramone la, cette pute » « Putain ! quelle bite il a ce salaud » Lentement, à coups de reins puissants, le sombre athlète commence à aller et venir dans les reins d´Adriana faisant redoubler ses clameurs délirantes. La verge noire luisante des sécrétions intestinales se fore un passage et lorsqu´elle se retire, le sphincter semble aspiré vers l´extérieur et telle une corolle rendue livide par l´étirement glisse le long du membre comme une bouche. Au fil des minutes, les hurlements d´Adriana se transforment en cris rauques, alors que l´homme, dégoulinant de sueur a augmenté l´amplitude de ses va-et-vient, retirant entièrement son sexe pour l´enfoncer à nouveau avec un han de bûcheron. Et puis, pour aussi incroyable que cela puisse paraître, malgré ses traits marqués par une terrible douleur, Adriana commence à lancer ses fesses au devant de l´énorme mantule, faisant claquer les masses élastiques de son postérieur contre le ventre proéminent. Ses cris sont devenus des râles sourds, entrecoupés de sanglots hystériques, elle jette sa tête en tous sens, houlant des hanches au rythme de la pénétration ; ses mouvements font se balancer encore plus les boules d´acier au bout de leurs chaînettes qui tirent en tous sens sur ses seins dont les mamelons tuméfiés ont triplé de volume. La jeune femme ne semble même pas se rendre compte de ce surcroît de douleur, car elle encourage maintenant l´homme d´une voix rauque ; démontrant à tous et prouvant à elle même son masochisme le plus affirmé. « HAARRAAH...VAS-Y ,NEGRO....OOOHAHHA....DEFON...AAHHARAR...DEFONCE...MOI.... AAHHRRA....OOHH.. .. J´AI MAAAAL...OOHHAARRAAHH ! ! ! C´EST BON ! ! ! ! ENCORE ...TA GROSSE BITE....PLUS FOOORT...SALAUD ! ! ! HHAAARRR.... » Redoublant d´ardeur le noir se met en devoir de la pistonner de toutes ses forces en grognant de plaisir. Adriana, comme prise de folie, crie de douleur et de plaisir confondus : « AAHAARRRAA... ENCULE MOI ! ! ! DONNE TA.... AAARHAOOUUU QUEUE.... ENC...OOOOHHAAA...ENCORE...JE VAIS JOUIIIR.... OOHHOUIII JE SUIS UNE PUTE.... PLUS FORT....FAIT MOI MAL, SALAUD ! ! !.....OOHHAAAOUUUI ! ! ! JE VIENS.... OOOOH... PINCE MOI LES SEINS, SALE NEGRO ! ! !... VA...AAHHAARRR... VAS-Y ! ! OOOHHAA...FOOORT » Rendu fou par l´injure et le plaisir, le colosse noir délaissant les hanches de la fille, empoigne à pleines mains les énormes seins et saisissant les tétons par dessus les diaboliques pinces, il les pressent sauvagement entre ses gros doigts. L´abominable douleur qui lui ravage les mamelons fait franchir le pas à Adriana, vers un orgasme démentiel et tandis que le noir poussant frénétiquement sa verge monstrueuse dans les entrailles de la fille, éjacule en rugissant, celle-ci se met à jouir en hurlant à tous son plaisir obtenu dans des conditions terribles. « WOUHAAARRRRGGGG ! ! !....AAAHHHAAARRR....OOHHOUIII....TON....FOUTRE...OUIIII... DONNNE....AARRHHH.....ENCOOOORE....OOOHHHOOOO....ENCORE » Les derniers jets de foutre jaillissent dans les intestins d´Adriana qui se tortille convulsivement en criant qu´elle en veut encore. Le gros membre encore palpitant, se retire du rectum enflammé en glissant grassement. L´homme administre une claque retentissante sur les fesses de sa partenaire et s´éloigne vers ses compagnons d´un air triomphant, sa verge lui pendant jusqu´à mi-cuisses. Kurt s´empresse d´ôter les pinces des seins de sa patronne et la détache du palan. Elle se laisse tomber à quatre pattes, reins cambrés, cuisses écartées, montrant à tous son anus complètement dilaté. Tournant un regard chaviré vers les hommes qui l´entourent, elle lance d´une voix rauque : « Encore... j´en veux encore ! ! ! Baisez moi, bande de salauds... Donnez moi vos bites ! ! ! ... Remplissez moi de foutre ! ! ... Venez ! ! » C´est le début d´un délirant gang-bang ; aussitôt, un autre black, équipé lui aussi d´une verge impressionnante bien que plus modeste que celle de son comparse s´accroupit au dessus des fesses d´Adriana et l´empale d´un coup jusqu´aux testicules. Un autre homme s´agenouille derrière la fille et force de son gland massif le sexe luisant de mouille ; doublement embrochée, elle pousse un feulement de plaisir. Trois autres mâles s´agenouillent devant elle pour lui frapper le visage de leurs queues congestionnées.

Comme hystérique, elle englouti alternativement les trois membres, criante, hoquetant et le souffle court, tandis que les deux hommes derrière elle, la pistonne comme des sauvages. « OOHHOU...HOMMPPFF...OUIII... ENC...GLOORGG...ENCORE ! ! ...BOURREZ HAARRAA...MOI.. OOHAA JE...JOU... HOOOMMMMPFF... OOUUHAARRRHH ! ! ! HAHA.. HAHAAA...AAHHHAAARRRR » Elle hurle, emportée par un premier orgasme, puis un deuxième et aussitôt après un troisième, tandis que les hommes éjaculent les un après les autres sur son visage en jets épais et gluants. Le sperme poisse ses cheveux, s´accroche à ses longs cils, englue ses joues, son front et dégouline de sa bouche mêlé à sa salive. Le noir se retire brusquement des fesses de la jeune femme et la saisie sauvagement par les cheveux pour l´obliger à tourner la tête vers sa grosse queue, formidablement tendue, qu´il empoigne pour se branler frénétiquement en insultant la fille. « T´ es un vrai sac à foutre ! Tiens grosse salope, je vais te cracher ma purée à la gueule ! !.. HAARRRRH » La main crispée sur sa verge, il jouit en râlant, lâchant une quantité de foutre impressionnante en giclées interminables , recouvrant littéralement la figure d´Adriana qui hurle de plaisir embrochée par le deuxième homme qui a abandonné sa vulve pour se planter dans son anus et l´inonder de sa semence. Délivrée de ses partenaires, à genoux, tremblante, le regard planté dans celui du black qui vient de la sodomiser, elle passe ses mains sur sa figure et étale le sperme sur ses seins en les massant sensuellement. Trois hommes la saisissent par les bras et les jambes et l´emmène vers une sorte d´établi sur lequel un arabe est déjà allongé, nu, le sexe dressé ; ils l´allongent à plat dos sur l´homme qui plante sans difficulté sa verge dans l´anus d´Adriana qui râle de plaisir. Un autre magrébhin monte sur le meuble et s´agenouille de part et d´autre des jambes de son compagnon, il pose les chevilles de la fille sur ses épaules et la pénètre d´un grand coup de reins. « AAHOOOUUIIII ! ! ! ... OOHHOOOAAAHH ! ! !... FOORT.. . ALLEZ-Y, BANDE DE SALAUDS ! » Un troisième ouvrier enjambe le buste de la jeune femme et glisse sa verge entre les seins monumentaux pour se branler. La tête d´Adriana, complètement renversée en arrière, dépasse de l´extrémité de l´établi ; deux mâles en profitent pour enfoncer chacun leur tour leurs bites dans la bouche de la fille, la faisant hoqueter. Embrochée par tous ses orifices, elle a encore la ressource de saisir les queues de deux autres gaillards qui s´étaient placés de chaque côté dans l´espoir de se faire sucer. Bientôt, ce n´est que grognements, ahanements, hurlements de plaisir, râles de jouissance, sanglots hystériques. Les hommes éjaculent les uns après les autres dans la bouche de la fille, sur sa figure, entre ses seins. Dès qu´un à jouit, un autre le remplace. L´arabe qui la sodomise a déjà jouit, mais il bande toujours et continue de la pistonner, pendant que trois autres se sont succédés dans le sexe gorgé de sperme. Un quatrième plonge furieusement sa queue dans la vulve écarlate et dégoulinante faisant littéralement gicler le trop plein de foutre qui, mélangé à la cyprine coule sur les testicules des deux hommes. Tous les mâles se sont soulagés au moins une fois, mais certains toujours excités, n´ayant pas eu de femme depuis des mois, reviennent une seconde fois profiter de cette femelle offerte. Le black à la verge monstrueuse de nouveau formidablement dressée, vient aussi s´agenouiller entre les cuisses de la fille et la pénètre lentement, lui écartelant les cuisses au maximum ; L´énorme gourdin qui la dilate à l´extrême, la fait hurler de douleur et de plaisir. Encore une vingtaine de minutes de pénétrations violentes, de sodomies sauvages, de fellations forcées, puis les hommes quittent un à un le hangar. Adriana, abandonnée, bras en croix, cuisses écartées gît sur l´établi, gémissante, tremblante d´épuisement. Kurt lui cingle sauvagement les seins avec sa cravache. « Descend de là, chienne lubrique ! A quatre pattes ! Vite ! » Sanglotant, la pauvre fille s´exécute avec difficulté. La laisse est à nouveau fixée à son collier et le chauffeur la tire vers son patron toujours assis sur la caisse. « Allez avance ! Bouge toi »

Elle suit difficilement, se déplaçant comme un animal. Devant son époux, Kurt lui ordonne de se tourner, jambes largement écartées, reins cambrés au maximum ; suffocante de honte, elle dévoile à son mari et au contremaître sa vulve bâillante, dont les lèvres écarlates et le clitoris violacé, sont terriblement enflés, ainsi que le trou sombre de son anus largement ouvert duquel coule un épais filet de sperme qui vient se mêler à ceux qui suintent de son sexe jusque sur ses cuisses. « Vous en avez de la chance, Monsieur. Je n´ai jamais vu une salope pareille et en plus elle est gaulée comme un top modèle » lance le contremaître. Le sexagénaire approuve : « Oui, elle m´étonne chaque fois un peu plus. Tu as souffert avec le fouet et les pinces, n´est ce pas ? » « OOH oui, c´était terrible ! » « Mais tu as joui aussi, comme une folle. Comme je veux que tu sois heureuse, nous recommencerons le plus souvent possible. Tourne toi ! » Adriana obtempère, montrant son visage entièrement recouvert de foutre, les cheveux souillés, les cils collés, les narines et les yeux englués, toujours à genoux, elle regarde son mari ouvrir sa braguette et extirper un sexe court, mais massif et noueux. « Suce moi salope ! » gronde le sexagénaire d´une voix sourde. « Allez y prenez la aussi, vous n´en avez encore pas profité » lance t il à l´adresse du contremaître. Otant rapidement ses chaussures, son pantalon et son slip, l´homme s´agenouille derrière la jeune femme et enfonce sa verge congestionnée dans le rectum enflammé. Les mains crochées dans les cheveux de sa femme, l´élégant personnage plonge son sexe dans la bouche grande ouverte aux lèvres dégoulinantes de sperme. Ses testicules étonnamment pendantes frappent le menton et la gorge d´Adriana. Il se retire au bout de quelques va et vient pour se masturber lentement en serrant vigoureusement son membre. La jeune femme pousse des cris rauques sous les coups de boutoir de l´homme derrière elle qui plante sa queue alternativement dans sa vulve et son anus. Le sexagénaire, jambes tremblantes jouit en râlant, aspergeant encore la figure de son épouse qui hurle de plaisir, tandis que le contremaître se vide longuement dans ses intestins. « AAHHHAAA...OOUUUIIII ! ! ! ! .... CHERI ! ! ! ! OOHAAAA....JE T´AIME...OOHOO...AAAHHHAARR ! ! ! » Tandis que Kurt aide Adriana a se relever, son mari s´essuie le sexe avec un mouchoir blanc et le contremaître s´éclipse. Mains à nouveau menottées dans le dos, la jeune femme est ramenée en laisse à la voiture sous le regard amusé de quelques ouvriers qui ont repris le travail à l´extérieur. Ils échangent quelques mots en ricanant. A genoux entre les sièges avant et arrière de la grosse limousine, pour ne pas tacher le cuir avec les sécrétions qui s´écoulent de ses orifices, la jeune femme, humiliée, doit lécher les doigts de son époux qui essuie méthodiquement le sperme qui englue son visage et pour finir, alors que le véhicule s´arrête devant le perron de leur maison, il lui introduit la main entière dans le vagin et lui ordonne de la nettoyer avec la langue. Délivrée de son collier et de ses menottes, la jeune femme se plonge avec délice dans un bain parfumé que lui à préparé la bonne, compatissante, mais silencieuse et va ensuite se glisser dans les draps de son immense lit dans lequel elle va dormir une journée et une nuit complète, rêvant de viols, de partouzes gigantesques.

Anonyme

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