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Lui : Bienvenue dans cette maison.
Elle : Merci
Lui : Installe-toi, mets-toi à l'aise.
Elle : C'est bien chez toi.
Lui : J'espère que tu te plairas. Nous avons beaucoup discuté sur Internet. Nous avons convenu de vivre ensemble, pendant quelque temps, une relation uniquement sexuelle. Tu aimes le sexe, j'aime le sexe, on va vivre ensemble notre hobby. Tu t'installes ici et on baise. Tu es toujours d'accord sur cette approche des choses ?
Elle : Oui, et j'en ai très envie.
Lui :J'aimerais cependant vérifier que nous sommes bien d'accord sur les détails de ce que nous avons prévus de vivre. Je voudrais m'assurer que tu as bien compris que j'étais du genre cochon et que je me servirais de toi pour satisfaire toutes mes perversités. A l'inverse je serai ton jouet pour satisfaire tes fantasmes les plus osés. On est bien d'accord ?
Elle : Oui, oui, je suis d'accord.
Lui : Bon, mais je veux en être certain, je ne veux pas que tu me reproches ensuite de ne pas t'avoir prévenue, alors répète-moi tout ce que nous avons discuté, tout ce que tu as compris de ce que j'exigerais de toi.
Elle : Tout ?
Lui : Oui, tout, et en détail !
Elle : OK. En premier, je devrai toujours être en jupe, en jupe courte. Tu vois, je me suis déjà habillée comme tu le demandes.
Lui : Pas tout à fait. Ta jupe est courte au point d'être vulgaire. Certes, je la veux courte, mais pas trop. Tu seras habillée avec classe. Nous irons acheter tous les vêtements dont tu auras besoin. Une jupe courte, au-dessus des genoux évidement, souple et pas nécessairement moulante.
Elle : D'accord. Pour en finir avec la jupe, je ne tirerai pas dessus. Si elle remonte, elle remonte ! Quand je serai assise, je croiserai même les jambes pour que la jupe glisse vers l'arrière et montre mes jambes, voire mes cuisses. Quand mes jambes ne seront pas croisées, mes genoux resteront toujours écartés de 20 à 30 cm. C'est bien ça ?
Lui : Exactement cela, continue.
Elle : Sauf en des circonstances spéciales, dont je parlerai plus tard, je ne porterai jamais de culotte et ma chatte sera rasée sauf une toute petite touffe .
Lui : Non ! Pas rasée, ça pique ! Tu devras l'épiler, ça prend énormément de temps, mais en dehors de baiser et de faire du shopping, la seule chose que tu auras à faire c'est de t'occuper de toi.
Elle : OK. Pour le reste ça va ? Je me tiens comme il faut ? Mes genoux sont bien écartés ?...........
Lui : Oui, oui et je devine ta chatte, mais je n'en vois pas bcp de détails.
Elle : Ah ! Oui. Si un homme regarde ma chatte ou est captivé par la scène, je n'hésite pas une seconde à lui en donner plus. Mon langage sera en toutes circonstances, élégant, raffiné et châtié, mais dès qu'il s'agira de sexe il deviendra d'abord légèrement provocant et ensuite de plus en plus, si l'homme apprécie ce genre d'excitation il deviendra de plus en plus provoquant et vulgaire, et ce sans aucune limite, jusqu'à l'obscénité la plus ordurière si l'homme à l'envie de m'y entraîner.
Par exemple, comme après ce que tu viens de dire à propos de ma chatte, je mets, sans aucune hésitation un pied sur le canapé, jambe pliée et complètement écartée, montrant mon sexe sans aucune pudeur et en te répondant comme ça : Tu la vois mieux ma chatte, petit voyeur ? Et regarde cochon, j'ouvre les lèvres pour que tu voies le trou ! Il est bon mon trou à bites, il sent, il est doux, mouillé et presse les queues jusqu'à la dernière goutte !
Lui : Pas mal pour un début ! Mais restons en là, on ne joue pas encore. Pour l'instant nous révisons les règles du jeu ! Tu peux continuer !
Elle : (En revenant à une pose plus conventionnelle) Ou en étais-je ?
Lui : A l'entretien de ta chatte.
Elle : Oui, nous disions la chatte épilée et surtout lavée le moins souvent possible. Une chatte odorante, ou l'on retrouve les fragrances de jus de cul, de mouille, d'urine, de foutre, de transpiration et de règles quand c'est le moment. Mon trou sera toujours mouillé, près à recevoir ta queue n'importe ou, ou celle de n'importe quel homme que tu m'auras désigné. Pour ce faire, je n'hésite pas, si nécessaire, à mettre un peu de gel au fond du con pour bien le lubrifier et à laisser couler quelques gouttes d'urine pour bien le mouiller. Je crois avoir tout dit pour ce qui concerne la chatte.
Pour les pratiques et jeux sexuels, bien évidement j'accepte tout ou à peu près, sauf la violence méchante. J'aime pas trop le bondage, la zoophilie, le sado-maso, le crade hard, mais une fois de temps en temps, s'il le faut, pourquoi pas ! Surtout si je sens que ça rend le mec fou d'excitation. J'adore exciter un homme et je ferais à peu près n'importe quoi pour les exciter. Pour le reste tu peux me faire ce que tu veux, dans n'importe quelle position, n'importe ou, sauf là où il fait trop froid, n'importe quand, n'importe comment, et avec n'importe qui.
Lui : Oui, ça me convient comme programme. C'est ce que nous avions convenu, mais je voudrais que tu me détailles tes n'importe quelle position, n'importe ou, etc.
Elle : Dis donc, cochon, j'ai l'impression que tu prends plaisir à me faire réciter toutes ces obscénités. Que ça t'excite ! Mais oui il bande le salaud.
Lui : Bien sûr que ça m'excite et toi aussi j'en suis sur. Les mots obscènes et les descriptions scabreuses sont les piments des jeux du sexe. Ils font partie de l'érotisme et excitent les sens. L'excitation est au sexe ce que le dopage est au sport. Il permet d'aller plus loin et plus fort. Viens ici que je vérifie ta chatte.
(Elle s'exécute). Lui, fourre deux doigts dans le con, bien au fond et les ressort tout aussitôt. (Ses doigts sont poisseux d'une mouille épaisse). Tu vois que ça t'excite aussi, salope !
( Il se passe lentement et longuement ses deux doigts poisseux sous le nez et hume le nectar en connaisseur, puis il se lèche les doigts avec volupté, faisant rouler le jus sur la langue, comme il le ferait d'un vieil armagnac.) L'odeur est délicieusement puante, mais pas très forte. C'est l'odeur de mouille qui domine. N'hésite pas sur l'urine. D'abord l'urine n'excite de plus en plus et l'odeur de certaines est parfois très capiteuse. Quant au goût c'est nettement le foutre qui domine et le foutre frais de surcroît ! Il ne doit pas y avoir longtemps qu'un homme a déchargé dans ton con.
Elle : Exact. J'ai fait venir un copain cette nuit et je l'ai fait jouir une dernière fois juste avant de partir pour venir ici. Je voulais me conformer aux règles sur lesquelles nous nous sommes mis d'accord et que nous sommes en train de passer en revue depuis que je suis arrivée.
Lui : Nous sommes sur la même longueur d'onde et l'on va bien s'amuser tous les deux. Continue tes explications sur la manière dont nous allons baiser.
Elle : N'importe quelle position. C'est assez explicite : debout, couché, levrette, 69, moi accroupie sur toi, toi sur moi etc.
N'importe où. C'est déjà plus intéressant : D'abord dans toutes les pièces de la maison : La chambre bien sûr, mais aussi le garage, baiser dans le garage m'a toujours excité, je ne sais pas pourquoi, mais c'est ainsi. Baiser dans le salon évidement, debout, couché sur le sol, dans les fauteuils. Dans l'escalier, ça peut être très amusant, et puis dans la cuisine. J'adore être prise sur les tables de cuisine. La salle de bains aussi. La salle de bains offre pas mal d'occasion : contre le meuble évier, dans la baignoire : debout, assis ou couché, sous la douche. Reste les WC, j'y ai quelques souvenirs un peu salaces, mais qui devraient t'exciter. J'aime me faire lécher le clito quand je pisse assise sur le W-C et me masturber pendant qu'un homme pisse entre mes seins : C'est une sensation fabuleuse de sentir l'odeur et la chaleur de l'urine. D'abord le jet chaud entre les seins puis la coulée sur le ventre, le pubis et enfin sur ma chatte et mes doigts qui me branlent. Finalement l'urine glisse encore un peu sur mes fesses avant de tomber dans la cuvette.
Lui : Oui je connais, ça m'excite aussi, c'est quand tu veux. J'aime aussi faire ça quand la femme porte un chemisier ou un vêtement ample à grand décolleté. Mais continuons. Après la maison, quels autres endroits ?
Elle : La liste me parait infinie. Mais nous pourrions évoquer la voiture, pour commencer par les classiques : les pipes et se tripoter en conduisant ; la banquette arrière dans la nature, les parkings ; mais ce que je préfère c'est de me faire prendre sur le capot. La chaleur de la tôle sur mes fesses, la position cambrée et inclinée vers l'arrière, la chatte à la bonne hauteur pour me faire pénétrer, c'est un plaisir très différent de toute autre baise. Vraiment j'adore.
Dans la nature bien évidement, les ascenseurs sont un autre classique, je te raconterai aussi une expérience, style Emmanuelle, que j'ai vécu dans un avion.
J'aime aussi entrer dans un grand hôtel, et baiser dans les toilettes. Les toilettes ou la salle de bains chez des amis, les abandonner un moment quand on est invité, et les laisser deviner que l'on fornique sous leur toit, est aussi bien amusant. Je finirai par un autre classique : les clubs échangistes ou plus : les boites de cul.
N'importe quand ! Je suis disponible quand tu veux : la nuit bien sur, que je dorme ou pas, que je participe ou pas, tu me baises comme tu le sens. Pour le reste rien ne doit t'arrêter, ni mes règles, ni ma toilette, ni aucune occupation. Rien n'est plus important dans la vie que le plaisir du sexe.
Avec le n'importe comment, les choses deviennent encore plus excitantes : Nus ou plus ou moins habillé. A deux ou à plusieurs. Simplement ou avec une déviation sado-maso, uro, exhibitionniste, crade ou autres. Avec ou sans accessoires : lingerie érotique, godes, vibros, poires, colliers, fouet, menottes, etc. Dans le trou que tu veux : Le sexe, l'anus, la bouche, entre mes seins.
Avec le n'importe qui, l'on touche au plus vicieux. Je t'ai promis de me laisser baiser comme tu en as envie, au plus c'est cochon, au plus ça me plaît. Mais il est aussi convenu que je me laisserai tripoter, que je me laisserai baiser, que je satisferai n'importe quel fantasme de n'importe quel homme, ou femme d'ailleurs, que tu me désignerais. Ne pas avoir le choix de l'homme qui vous baise est une idée qui m'excite toujours. Etre obligée de se laisser faire quelle que soit la perversité de l'homme me rappelle le temps ou, étudiante, je me prostituais de temps à autre pour arrondir mes fins de mois. Je trouvais cela d'ailleurs assez injuste : j'avais autant de plaisir, si pas plus, que le client et en plus je recevais de l'argent. Je trouvais cela débile. Cela m'excitait tellement que je jouissais plus qu'avec mon copain du moment.
Lui : Pas mal ! Tu peux évidement continuer à faire la pute, que ce soit pour t'exciter ou te faire un pécule. Tout ce que je demande, c'est de me raconter les baises que tu as avec d'autres en mon absence, de me raconter les détails les plus obscènes, je m'en délecterai.
Elle : Le point suivant concerne ton penchant uro : j'aurai aussi souvent que possible la vessie pleine. Chaque fois que l'occasion se présente je laisserai couler un peu d'urine : quand tu regardes ma chatte, quand tu me la lèches, quand tu passes la main sous ma jupe. Dans la salle de bains je n'hésiterai pas à y laisser une marre d'urine. Il vaudra mieux prendre l'habitude de ne pas y entrer chaussé. Dans le lit je saisirai toutes les occasions pour lâcher quelques gouttes à chaque fois qu'elles pourront t'atteindre. Je ne pisserai dans les W-C qu'exceptionnellement, avec ton autorisation et en ta présence, au sinon ce sera plutôt dans la douche. Bien entendu tu me pisseras dessus à chaque fois que tu en auras envie et ma bouche sera ton urinoir.
Lui : Tu deviens de plus en plus excitante !
Elle : Par contre je n'ai pas bien compris l'histoire de la paille.
Lui : Tu dois absolument lire Françoise Rey en particulier la femme de papier et la brûlure de la neige. C'est en la lisant que j'ai appris que les femmes peuvent se masturber l'urètre, par extension on peut y installer, sans douleur, une sonde. La femme dès lors ne contrôle plus l'écoulement de son urine. L'idée de t'emmener dans ces conditions dans les magasins n'excite fort.
Elle : T'es vraiment cochon et ton imagination perverse dépasse tout ce que j'ai connu jusqu'à présent. Mais par contre, ce qui n'étonne, c'est que tu ne m'as presque jamais parlé de sodomie !
Lui : Oui je l'ai tellement pratiqué, j'ai connu des femmes qui ne voulaient que ça, que pour moi baiser ou sodomiser c'est presque pareil. Ce qui je trouve excitant c'est de pénétrer une femme dont l'anus est bien dilaté et lubrifié au point de ne pas se rendre compte si l'on pénètre le con ou le cul. Pour en arriver là, il faut que la femme aime et pratique très régulièrement la sodomie et qu'elle soit à peu près immunisée aux risques d'infection urinaire. Car ce qui est excitant, c'est de passé sans faire attention, ou sans s'en rendre compte du con à l'anus. Une femme expérimentée lâchera à chaque fois un peu d'urine pour diminuer le risque d'infection urinaire. Il y a des femmes dont il suffit de regarder l'anus pour qu'elle attrape une cystite et d'autres qui, au contraire, peuvent s'enfiler les bittes les plus dégueulasses sans aucun problème.
Elle : Moi j'aime me faire enculer, mais j'aime surtout les intestins pleins. Je suis moyennement sensible aux cystites, mais dès que je sens une gène, je prends un ovule ou je demande un traitement au toubib. Je prends le plaisir et je gère le risque !
Lui : En général les amatrices de sodomie ont beaucoup plus de sensation à ce faire prendre le cul plein. Cela leur procure un mélange de gêne, voire de douleur et de plaisir. Elles adorent pousser en même temps et aussi de passer du cul au sexe plusieurs fois au cours du jeu. Pour que ça marche bien il faut que les selles de la dame soient soit plutôt liquides, soit dures pour ne pas coller à la queue. Si les selles sont trop molles la merde colle trop à la bitte, ça pue trop, on en met partout et moi j'aime pas le scato. Un anus gras oui, une odeur de cul oui, un peu de jus de cul oui, mais plein de merde non. Alors tu vois, la sodomie ça dépend totalement de la femme : ça se fait naturellement comme une évidence, ou ça ne se fait pas.
Elle : Je suis assez d'accord avec toi : le scato, une fois de temps à autre, ne me dérange pas, faut pas mourir idiot, mais alors c'est le thème du jour et on s'organise en conséquence, car ça demande un minimum de logistiques. Par contre pour la sodomie, s'il faut passer à la salle de bains toutes les 5 minutes, c'est pas marrant, ça casse le rythme et le jeu. Prendre dans mon con ou dans ma bouche une bitte odorante et douteuse sortant de mon cul ou même d'un autre cul m'excite, mais bouffer de la merde non, ça je ne le fais pas. Cette limite étant posée, c'est vrai que pousser, le cul plein, quand on t'encule, est très jouissif. C'est vrai que sentir un peu de jus de cul couler entre les fesses me donne une excitation perverse. J'avoue aussi qu'il ne me déplaît pas de frotter un peu de jus de cul sur mes seins, il y a des cochons que ça excite.
Une variante que j'aime aussi, je crois que je suis aussi cochonne que toi, c'est de me mettre 4 ou 5 petites tomates cerise dans le cul. Elles éclatent sous la pression de la bitte qui pénètre, et le jus s'écoule ensuite délicieusement sur les fesses.
Mais dans ce domaine la cochonnerie la plus perverse que j'ai eu connue est la suivante : Après m'avoir sodomisé, après avoir joui, après avoir débandé, après que je me sois endormie avec la verge de mon partenaire encore dans le cul, celui ci a, sans que je m'en rende compte puisque j'étais endormie, vidé sa vessie dans le rectum. Bien évidement, quelque minutes plus tard, cela produit l'effet d'un lavement. J'ai été réveillée par le besoin impératif d'aller aux toilettes. Je me demandais ce qui m'arrivait. Je me suis levée précipitamment pour courir aux toilettes. Mon partenaire dans une perversité suprême et sachant lui ce qui m'arrivait, me retenait par le poignet en me demandant où j'allais et en me demandant de l'embrasser avant de quitter la couche. Je le suppliai de me lâcher en lui expliquant que mes intestins allait exploser. Je sentais mon anus couler. Je serrais autant que je pouvais pour éviter la catastrophe. Je sentais monter le spasme qui allait me faire perdre le contrôle du sphincter. C'était douloureux, jouissif, excitant et extrêmement gênant, le tout à la fois. Je réussis finalement à me dégager le poignet et à courir vers les WC. Je sentais toujours mon anus couler légèrement et le spasme arriver de plus en plus puissamment. Au moment d'entrer dans les toilettes et avant que j'ai eu le temps de m'asseoir sur la cuvette, tout est parti et j'en ai mis partout : le sol, les murs et sur moi. J'étais gênée. Mon partenaire lui rigolais à tout va !
Lui : Je vois que je ne m'étais pas trompé, que j'ai à faire à une experte, une virtuose de l'excitation et du porno.
Elle : C'est ce que tu cherchais, non ? Je crois qu'on a fini, qu'on peut commencer les travaux pratiques, qu'on peut commencer à jouer !
Lui : C'est vrai que j'espérais trouver une vraie cochonne et je suis comblé d'autant que la cochonne est plus que mignonne. Une dernière chose avant de passer à la pratique, tu as oublié de me parler de ta petite culotte !
Elle : Ah ! Oui. La plupart du temps, comme je l'ai déjà dit, je ne porterai pas de petite culotte, et aussi, je crois avoir oublié de le mentionner, je n'ai pas le droit de m'essuyer quand je vais aux toilettes, ni la chatte pour qu'elle sente bien l'urine, ni le cul pour que l'anus soit gras. Mais en cas de nécessité j'aurai le droit de mettre une culotte pour m'essuyer, toujours la même, elle est, je l'ai achetée selon tes instructions, de couleur claire, unie, et très ample. De telle sorte que toute les taches se voient bien, qu'on puisse passer les doigts pour tripoter ma chatte sans avoir à tirer sur un élastique et qu'elle soit bien odorante. Cette petite culotte devenant ainsi un accessoire de nos jeux érotiques.
Lui : Très bien je crois qu'il n'y aura pas de malentendu sur la nature de notre relation. Tu peux maintenant te mettre à quatre pattes sur la table de salon, pour que les doigts, ma langue et ma queue puissent faire la connaissance de tes trous.
Et c'est ainsi que commença une délicieuse relation parfaitement pornographique, qui dura de nombreuses semaines.

 

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