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Bonjour, je m'appelle Alain et voici une histoire vrai qui m'est arrivée il y a deux ans. J'ai 25 ans et divorcé depuis six mois. J'habite sur la Côte d'Azur dans une petite villa que je loue au bord de mer. Donc, il y a deux ans, au mois de mai, j'ai invité ma mère, veuve depuis 16 ans, mon père étant mort suite à un accident automobile, à passer quelques jours chez moi.

La suite au présent:

Travaillant la journée, elle va à la plage et me prépare de bons plats à mon retour. Ce soir, sachant qu'elle aime danser, après le repas je lui propose d'aller prendre un verre en boite où j'ai l'habitude d'aller draguer. Maman est d'accord et va se préparer. Il fait encore frais et j'ai mis un costume en lin gris, elle revient revêtue d'une jupe rouge et d'un chemisier bleu électrique en soie. Ses jambes sont gainées de noir avec des escarpins rouge. Il faut dire que je suis fier d'être avec elle car elle est très belle et, surtout fait beaucoup moins que ses 55 ans. Je la complimente sur sa beauté et prenons la voiture pour aller en boite. Arrivés le patron nous dit bonjour, regarde ma mère avec un sourire et dès qu'elle a le dos tourné, il lève le pouce en l'air avec un clin d'oeil. Je le laisse se faire son cinéma.. La salle est dans une demi obscurité et il y a très peu de personnes. Il est vrai que nous sommes en semaine. Le patron nous demande ce que nous désirons boire . « Tu nous mets une bouteille de champagne ». Je sais que maman adore ça. Il revient , pose le seau et les flûtes et je lui dis : « Pierre, il n'y a rien à draguer dans ta boite ce soir ! » Interloqué et interrogatif, il regarde ma mère. « Oh, j'ai oublié de vous présenter, Maman, Pierre.» « Ce n'est pas croyable, vous faites si jeune, mes compliments madame » répond t'il. « Merci, monsieur c'est très aimable ». Je lui propose de prendre un verre avec nous, mais il refuse en nous remerciant car il doit faire un briefing au nouveau barman. Nous trinquons et buvons tout en écoutant la musique. La disquaire met un rock et maman me demande de la faire danser. C'est elle qui m'a appris, très jeune, à danser. Nous allons sur la piste et elle enlève ces escarpins. « Maman tu vas bousiller tes collants.» « C'est pas des collants mais des bas et je ne peux pas danser avec ces chaussures ». Nous faisons quelques passes quand soudain elle glisse et voulant lui éviter une chute, ma main dérape sur son sein. Je sens à travers son chemisier qu'elle n'a pas de soutien gorge et sous la surprise, ma main reste plaquée à son sein. « Merci, mon chéri, tu m'as évité de m'étaler ». Nous continuons quelques rock, puis retournons nous asseoir. Je lui ressers à boire et nous discutons. Une série de slows parvient à nos oreilles. « Fais-moi danser, j'en ai envie.» Je l'aide à se lever en lui prenant la main et dans rapidement, lorsqu'elle écarte les jambes je crois voir qu'elle n'a pas de culotte. Ai-je eu une vision, mais je suis troublé et commence à bander légèrement. Je me raisonne en disant que c'est ma mère mais le fait qu'elle soit sans aucuns sous-vêtement ma laisse pantois. Nous dansons gentiment quand soudain elle pose sa tête sur mon épaule et me caresse la nuque. Elle a déjà bu trois coupe et je mets cela sur l'effet de l'alcool. Elle me murmure à l'oreille : « C'est gentil de ta part de m'inviter chez toi, je suis tellement seule. Ton frère depuis qu'il est marié ne vient me voir que rarement et je me suis séparé de mon petit ami depuis deux mois.». Ces confessions me surprennent et voulant la rassurer, je la serre contre moi en déposant un bisou sur sa joue. Elle lève la tête me regarde de ses yeux bleus et me sourit. « Je t 'aime, maman, tu le sais.» « Oui mon chéri et moi aussi.» Les slows s'enchaînent et maman se colle de plus en plus contre moi. Je ressens une douce chaleur au niveau de son bas-ventre qui augmente progressivement. Elle a les yeux fermés une sourire orne ses lèvres. Elle ondule du bassin légèrement ce qui à pour effet de me mettre en érection. Ma gêne est intense et chaque fois que je recule pour qu'elle ne sente pas la grosseur de mon sexe elle fait le nécessaire pour se coller contre moi. Elle est de plus en plus brûlante et je suis sauvé par la mise en oeuvre d'un autre style de musique. A peine assis, elle me tend sa flutte pour que je la remplisse et me disant : « J'aime m'éclater et cela ne mets pas arrivé depuis longtemps, sers-moi à boire, c'est la fête. » Je m'exécute, elle porte la flûte à ses lèvres et en boit la moitié. Puis elle prend mon bras et le glissant derrière son cou tout en tenant ma main pose sa tête sur mon épaule. Sa main guide la mienne sur un sein et la maintient contre lui. Je ne sais que faire sentant le mamelon sous mes doigts et dont le bout durcit lentement. Je veux rompre ce qui me semble irréparable et d'un ton autoritaire lui dis : « Je penses qu'il est temps de rentrer car demain je me lève tôt pour aller travailler.» Je file au bar pour régler la note et la soutiens par la bras en sortant. Sa démarche est incertaine et heureusement que ma voiture n'est pas loin. J'ouvre sa portière et la fait asseoir. Elle a une jambe à l'intérieur et l'autre hors de la voiture ce qui fait relever sa jupe et à la lumière du plafonnier je découvre deux jambes gainées de bas noir avec un porte- jarretelle de la même couleur et surtout qu'elle est épilée. Je vois deux grosses lèvres protégeant sa fente surmonté d'un clitoris fort volumineux. Je me mets à rebander tout en fixant ce trésor. Mais vite je me ressaisis, ferme la portière et prend la route de la villa. A peine entré, elle me dit : « Sers moi encore du champagne avant que je me couches.» « Mais maman il est tard et tu as assez bu .» « Juste un dernier et au lit. » J'hoche de la tête et lui sers un verre d'un restant de bouteille qui était au réfrigérateur. » Elle est sur la canapé et se débarrassant de ses chaussures recroqueville ses jambes sous elle ce qui me fait voir de nouveau son sexe. Finissant de boire elle me demande de la conduire dans sa chambre. Elle est lourde et se cramponne à mon cou. Elle se jette sur le lit les jambes en dehors et me dit : « Mon chérie, je crois que je suis saoule, aide moi à me déshabiller.» « Mais maman je ne peux pas faire cela.» « Si, tu n'en perdras pas la vue et je te l'ordonnes.» Je m'agenouille, ouvre la fermeture de sa robe et la fait glisser. Elle m'aide en soulevant ses fesses et en levant les jambes. Son sexe est en gros plan ouvert tel une fleur. Mon coeur bat la chamade, elle repose ses jambes écartées dans le vide de part et d'autre de moi. Se redressant et mettant ses mains autour de mon cou en murmurant me dit : « Mon chemisier aussi, s'il te plait.» Je le déboutonne et ses seins jaillissent, bien que son age se tiennent très haut. Deux auréoles larges cernent ses tétons qui m'ont nourrit bébé. Elle retire ses bras un à un pour que je puisse le retirer. N'ayant plus que ses bas et son porte jarretelle elle s'allonge sur le lit les cuisses grandes ouvertes. Elle est la devant moi indécente, mais c'est ma mère. Je sors en éteignant la lumière et vais me coucher. Je n'arrive pas à dormir pensant à son beau corps, ses seins, son sexe épilé et commence à me masturber en me disant que j'aurais du en profiter mais j'ai honte c'est commettre un inceste. Je m'endors après avoir jouis. Je suis réveillé sentant une main sur mon sexe qui me décalotte en me masturbant lentement. Surpris, j'allume la lumière de ma lampe et découvre maman à genou à côté de moi. Les portes en miroir de ma penderie me font voir ses fesses écartées et elle a encore ses bas. « Mais tu es folle, je suis ton fils. » « Laisses-toi faire, j'en ai trop envie, tu vas voir comme je suis une vrai cochonne. Quand tu était petit, la nuit je me levait pour regarder par le trou de la serrure de ta chambre pour te regarder te branler. Après j'allais me coucher et me caressait en pensant à ta petite queue toute raide. » Je suis étonné de sa confession et elle continue à me caresser doucement faisant bien coulisser ma peau le long de mon membre pendant qu'elle excite mon gland de son index. C'est vrai qu'elle est douée et je deviens très vite tendu. « Caresses-moi les seins et regardes dans le miroir. » Elle a abandonné mon gland et sa main a plongé entre ses cuisses. Je la vois distendre son vagin de deux doigts et introduire un troisième à l'intérieur. C'est vraiment bandant de la voir ainsi et oubliant toute morale je m'empare de ses seins les soupèsent et chatouille les tétons. Elle se cambre, penche sa tête vers ma verge, dépose un peu de salive sur mon gland gorgé de sang et de sa langue caresse mon prépuce. « Regardes bien mon cul pendant que je vais te sucer. » Ces mots obscènes m'excitent et à mon tour je délire. « Oui, t'es une vrai chienne, suces-moi à mort, je t'aime, tu en veux, tu vas en avoir. » Je l'attrape par les cheveux et lui enfonce ma bitte au fond de la gorge. Ses joues se creusent pour mieux m'aspirer et ses doigts tirent sur ma peau pour mieux dégager mon gland. « Oui,c'est bon, je vais jouir, t'arroser salope......Oui......... Avaaaallle. » De longs jets jaillissent et elle les ingurgite en râlant. La bouche encore remplit de sperme , elle m'embrasse avec passion recrachant dans ma bouche le reste de mon foutre. « Alors mon fils, content ?, tu l'aimes ta maman. » « Oui, mais j'aurais jamais cru cela de toi. » « C'est pas fini mon grand, on va bien s 'amuser tout les deux. » Elle se lève et se glisse dans mon lit en me disant. « Occupes-toi de ma chatte, elle en meure d'envie, tu vas bien me la manger. » Elle s'est mise sur le dos, les jambes grandes ouvertes attendant que je plonge dans sa fourche. « Tu as bien une caméra vidéo ? » « Oui, pourquoi ? » « Vas la chercher et filmes nous.» Je me lèves, prends la caméra avec un pied, la branche. » En m'attendant elle a dut se branler, car elle a bien ouvert sa chatte et je la vois, en faisant la mise au point, mettre deux doigts de chaque coté et écarter ses grosses lèvres, son clitoris est au garde à vous et tout violet. « Arrives vite, viens boire mon jus, je ne tiens plus. » Je m'agenouille entre ses cuisses et rampe vers son temple intime déjà luisant de son jus . Son trou est béant et palpite de désir, toutes ses lèvres sont distendues. Je glisse mes mains sous ses fesses et elle relève les jambes me présentant ses deux trous. « Fais-moi bien jouir, tous mes trous sont à toi. » Je saisis entre les lèvres sont clitoris que j'agace de mes dents et m'occupe aussi de la langue de sa vulve, l'enfonçant dans son antre. » « Mon cul aussi. » Je mouille de salive mon pouce et tout en la broutant , l'introduit sans peine dans sa rosette. Maman se tord de plaisir à chacun de mes assauts, elle hurle tout en se triturant les seins dont elle tire sur les bouts. « Oui, continue, c'est bon....Ah ouiiiiii. » Ses jambes m'enserrent la tête comme un étau, elle se cambre et une fontaine m'arrose les joues coulant sur mon menton. Quelle violence dans sa jouissance. Je rebandes de nouveau et ayant repris son souffle elle m'embrasse tout en me massant la bitte et les testicules. « Tu vas me baiser maintenant, je veux sentir ta queue bien au fond, j'ai envie de toi, tu es mon seul amour. » Elle me fait mettre sur le dos et tenant fermement ma bitte, elle caresse son clitoris avec mon gland avant de m'enfourcher. La chevauchée commence. Prenant appui sur ses mains, elle monte et descend sur ma bitte. Je la maintiens par les hanches, subissant la rudesse de son ventre. Elle contracte les musques de son vagin qui tel un sangsue me presse la bitte. « Défonces ma rosette avec tes doigts. » Je mets un doigt, puis deux dans son trou et la ramone. Je sens que je vais juter et hurle. « Je viens, je vais jouir, ouiiiiiii. » Elle se plaque contre mon pubis et attends de recevoir ma semence. Je l'inonde de jets puissants, jamais je n'ai eu autant de plaisir. Est-ce le fait que je baise ma mère, mais je n'arrête pas de couler dans son ventre. Mon coeur s'emballe, je tremble et claque des dents. Elle s'écroule contre moi, du sperme s'échappe de sa chatte et coule sur mon ventre. « Je vais te nettoyer. » Elle me lèche le ventre, effaçant toute trace de sperme. « Oh c'est déjà 3 heures. Je dois travailler, si on dormait un peu. » Je me lève et arrête la caméra. Nous nous endormons enlacés après un long baiser et pleins de mots d'amour.

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