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Aussi curieux que cela puisse paraître, je suis devenue vicieuse par amour pour mon mari Léo, un homme frisant la cinquantaine, qui est un pervers raffiné. Comme je ne peux avoir d’enfants, notre libertinage conjugal est une compensation à notre manque de vie familiale. Au bout de sept ans d’union sans partage, il m’a suggéré de prendre des amants afin de donner à notre couple des stimulants supplémentaires. Il m’a dit texto : « Il y a des hommes qui s’excitent en allant voir des films pornos. Moi je préfère que ma femme se conduise en héroïne de film porno et me le raconte. » Au début je rechignais, mais il a tellement insisté que j’ai fini par coucher avec un collègue de bureau. Chaque fois que je revenais de l’hôtel où je rencontrais mon amant, Léo m’interrogeait sur ce que nous avions fait, puis congestionné de luxure, me renversait sur le divan de notre séjour pour me baiser fougueusement.

J’ai multiplié les expériences libertines, par souci de nourrir l’excitation de mon mari. Je jouissais plus avec lui qu’avec les comparses auxquels je m’offrais en vue de pimenter notre intimité. Étant très sportive j’aguichais mes partenaires de golf et de tennis les plus sexy. Une fois pendant que je faisais l’amour dans notre chambre avec l’un d’eux, mon mari est resté caché dans la pièce à côté pour écouter mes râles voluptueux. Quand mon invité fut parti, je me suis recouché sur le lit où Léo m’a retrouvé les jambes relevées et grandes ouvertes. Sans dire un mot, il s’est penché sur ma fente regorgeant d’une laitance blanchâtre, en a écarté les bords velus avec les pouces et m’a léchée en profondeur.

Je me suis écrié : « Ah ! Le cochon, tu suces ma vulve toute baveuse du sperme de mon amant ! Ce que c’est sale ce que tu fais là ! Mais ce que ça m’excite ! Oui, chéri, donne-moi des coups de langue, aspire avec tes lèvres, savoure le mélange de mon jus et de sa crème au fond e mon calice ! » Ensuite il m’a pénétré de sa verge et en me limant furieusement il m’a dit : - Salope ! Tu ne te laves même pas le con après l’avoir offert à un mâle. Tu veux que ton mari découvre les traces de votre plaisir. – Oui mon chéri je te réserve mon con rempli de foutre, tu me baises si bien lorsqu’un beau mec vient d’y décharger !

J’ai appris un mois plus tard à Léo que j’avais séduit deux jeunes gens, Frank et Gino, qui rêvaient de me posséder ensemble dans une séance de triolisme. Nous avons décidé que je les inviterais à notre domicile de Neuilly en leur faisant croire que mon mari était en voyage. Mais il arriverait à l’improviste pour nous surprendre en pleine action. Le soir dit, mes superbes gaillards en visite n’ont pas tardé à me mettre nue, et je me suis tordue lascivement sous leurs baisers et leurs caresses. Je les ai entraînés dans la chambre conjugale où je me suis fait prier quand ils ont tenté de me prendre en sandwich. - Je n’ai jamais fais ça, vous exagérez ! Protestais- je. - Nous ne l’avons jamais fait non plus, ce serait tellement merveilleux de commencer avec toi ! a répliqué Gino.

Ils se sont déshabillés complètement, et j’ai cédé au magnétisme sexuel de leurs corps nus. Gino s’est couché sur le lit et m’a attiré par-dessus lui. Il tenait son pénis brandi, bien raide, qu’il a enfourné à l’intérieur de ma vulve mouillant d’abondance. J’ai senti Frank derrière moi qui entrouvrait mes fesses et introduisait avec un doigt de la vaseline dans mon anus. Dès que sa verge rigide l’a perforé j’ai gémi : « Doucement, Frank, ton gros manche me fait mal au petit trou. » Après une pause, il a pénétré plus lentement, sans forcer. Puis, il s’est étendu sur mon dos, m’écrasant de son poids contre son ami. Ce pieu de chair s’enfonçant tout entier dans mon rectum, me clouait profondément à Gino, qui me chevillait le vagin. J’ai crié : - Ca y est, je suis enculée, j’ai vos bites en moi, devant et derrière. Allez donc, remuez-les en même temps !

Ma jouissance vaginale et anale fut vive, pendant qu’ils me pilonnaient simultanément. Leurs deux éjaculations ont paru se croiser dans mon ventre, me faisant hurler de volupté. Nous sommes restés sur le lit, moi entre eux, à nous tripoter. Ils me palpaient les seins et les cuisses, me mordillaient, tandis que je jouais des deux mains avec leurs pénis., qui de nouveau se sont allongés et ont grossi. Celui de Gino était si appétissant que j’ai eu envie de le sucer. Frank s’est baissé afin de contempler de près cette fellation avide. Ce fut alors que j’entendis au loin un bruit de clé dans la porte de l’appartement : mon mari rentrait. Mes deux partenaires étaient trop absorbés pour y prendre garde. Je fus surexcitée à l’idée qu’il allait me voir en pleine activité fellatrice et cela a rendu ma succion plus passionnée Léo ayant bien calculé son entrée, est apparu au seuil de la chambre au moment précis où Gino éjaculait dans ma bouche. J’étais en train d’avaler son sperme quand mon mari, fronçant les sourcils s’est écrié d’un air accusateur : « Ah ! Putain ! Toute nue en train de faire la salope avec deux hommes ! »

Ce fut un coup de théâtre pour les jeunes gens qui sont restés sidérés. Je leur ai fait signe de se rassurer, et j’ai couru me jeter au cou de Léo : Oh ! Mon chéri, ne m’en veux pas ! Je suis chaude du cul, tu le sais bien ! Embrasse-moi ! J’ai collé mes lèvres aux siennes et j’ai fourré toute ma langue dans sa bouche. Je lui ai fait goûter un peu de ma salive, imprégnée de la saveur âcre de ma fellation. Léo galvanisé, a plongé le bout de ses doigts dans ma fente gluante. - Comme ils t’ont bourrée, les chiens ! - Pas tellement, mon chéri. Ils ont tiré trois coups avec moi. Viens sur le lit en tirer un autre.

Je me suis retournée pour faire un clin d’œil à mes deux lascars que cette scène commençait à émoustiller. J’ai déboutonné moi-même le pantalon de Léo, j’en ai sorti sa belle queue bandée. Il m’a poussé sur le lit où j’ai chu mollement, et m’y a enfilé raide. Son va-et-vient a fait un léger clapotis dans mon vagin débordant de sperme. Quand il eut fini, Léo a dit à mes deux partenaires : « Je devrais vous ficher une correction et vous flanquer à la porte pour avoir baisé ma femme. Mais je vais plutôt vous donner une bonne leçon, en vous obligeant à le refaire devant moi. « Leur forte érection prouvait qu’ils en avaient encore envie. Léo s’est mis nu comme nous, et a pris la direction des opérations. « Lequel des deux ne t’a pas enculée ? « Me demanda-t-il. J’ai désigné Gino. Mon mari a donc fait coucher Frank sur le tapis et m’a aidé à le chevaucher. Puis il a tendu à Gino le tube de vaseline traînant là, et lui a ordonné de bien se graisser le nœud. Gino, très en forme, s’est placé derrière moi, et à peine eut-il appuyé le bout gras de sa queue sur mon anus qu’elle s’y est engloutie facilement, d’un seul trait. Mon premier sodomite a joué des reins aussitôt, et Frank s’est agité de même. Leur double pénétration, bien rythmée m’arrachait des exclamations délirantes : Ah ! Ce que c’est bon d’être baisée et enculée à la fois. Ce que vous bandez dur vous deux. Aie ! Pas si fort vous me défoncez des deux côtés. Ca vous plaît, hein, de faire ça à une femme mariée devant son mari ? Regarde-moi jouir, Léo, entre mon baiseur et mon enculeur. Regarde comme ils fouillent de leurs pines le con et le cul de ton épouse. On dirait… qu’ils se battent en duel dans mon ventre !

Frank n’a pas mis longtemps à cracher du sperme en moi, suivi de Gino, ce qui a déclenché mon orgasme. Nous nous sommes disjoints et je suis restée prosternée sur le sol pour récupérer. Mais Léo dont l’érection était redevenue intense, s’est agenouillé contre ma croupe. Son gland a cherché mon anus, encore béant, gorgé de lubrifiant et de jute. - Oh ! Mon chéri, je ne pourrais pas supporter un autre enculage ! - Si, je veux entrer dans ta rosette jusqu’aux couilles en présence de tes deux amants. Il fait qu’ils sachent que ton trou du cul est à moi :!

Malgré les inconvénients de la récidive, je me suis prêtée à la sodomie en masturbant d’un doigt fébrile mon clitoris. Léo m’a saisi les seins et les a pressés, tout en faisant aller et venir son mandrin dans mon boyau culier. Il m’a dit en haletant : - Je sens sous mon gland tout le foutre qu’ils t’ont mis, ces petits salauds. Et je vais y ajouter le mien. - Oh ! Oui, encule-moi bien en frappant mes fesses de ton ventre. A ton tour de m’arroser le troufignon. Décharge dedans mon salaud. Vide-toi dans le cul de ta femme. Sin éjaculation fulgurante, que mon anus a bue avec des contractions réitérées du sphincter, a provoqué mon extase. Après le départ de Gino et de Frank, je me suis blottie toute nue dans les bras de mon mari en minaudant : - Tu l’aimes ta baiseuse, ta petite enculée ? Tu es content de m’avoir fait faire la pute avec ces deux jeunes mâles ? - Oui c’était très excitant, surtout quand ils t’ont embrochée comme une poule à la rôtissoire, en te serrant entre eux. J’adore le spectacle de ta sensualité déchaînée !

Je songeais aux moyens d’être encore plus vicieuse afin de mériter son amour. - Je suis prête à tout Léo. La prochaine fois je vous sucerais la bite l’un après l’autre et j’ingurgiterai toute la liqueur de vos couilles. Je me saoulerais de votre semence. Et puis un soir ils amèneront des amis, pour que je sois prise par cinq hommes à la fois, sous tes yeux. J’en aurais une dans la bouche et je branlerai les deux autres. Ca te fera bien bander mon chéri, quand ils déchargeront tous ensemble, inondant de sperme ta salope ! J’ai compris à son air que ce joli programme de débauche conjugale se réaliserait bientôt !

 

 

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